Carl Gustav Jung est un médecin psychiatre suisse né le 26 juillet 1875 à Kesswil et mort le 6 juin 1961 à Küsnacht, en Suisse.
Aïe, voilà sans doute ma référence qui risque d’être la moins appréciée. Comme écrit dans wikipédia : “Carl Gustav Jung a été un pionnier de la psychologie des profondeurs : il a souligné le lien existant entre la structure de la psyché (c’est-à-dire l’« âme », dans le vocabulaire jungien) et ses productions et manifestations culturelles. Il a introduit dans sa méthode des notions de sciences humaines puisées dans des champs de connaissance aussi divers que l’anthropologie, l’alchimie, l’étude des rêves, la mythologie et la religion, ce qui lui a permis d’appréhender la « réalité de l’âme ». Si Jung n’a pas été le premier à étudier les rêves, ses contributions dans ce domaine ont été déterminantes.
On lui doit également, entre autres, les concepts d’inconscient collectif , d’archétypes, d’individuation, de types psychologiques, de complexe, d’imagination active, de déterminisme psychique et de synchronicité.”
C’est Jean DIERKENS professeur de psychologie à la faculté où j’ai accompli ma formation que je dois d’avoir découvert puis apprécié cet auteur. Je l’ai lu avant Freud, c’est dire … . Quand on se penche sur ce que Jung a développé, cela semble très ésotérique, voir très fumeux. Raison pour laquelle j’entretiens avec lui des rapports de sympathie et de méfiance. Pourtant, je dois bien admettre que certaines notions très rationnelles peuvent très bien s’accorder avec sa pensée. Même chez Yuval Noah HARARI, j’ai trouvé des données qui se recoupaient.
Plus loin, vous verrez que j’ai tenté de rendre plus rationnelles et moins ésotériques certaines notions mais y serais-je parvenu ? La mission est délicate. On se grille souvent en voulant porter la lumière.
Pour aller plus loin …