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La Seyne-Sur-Mer Les essais de Pascal Rivière Rencontres de voyages et de hasards

Le Marché de Toulon

Plongez au cœur du marché de Toulon avec cette chanson poétique et envoûtante, inspirée des écrits de Jean Aicard et Jean Cocteau. « Le Marché de Toulon » vous emmène dans une promenade à travers les étals animés, les couleurs vives et les saveurs délicieuses de ce marché provençal. Avec des paroles qui célèbrent la beauté et l’authenticité de la vie locale, et un refrain entraînant comme une samba lente, cette chanson est une ode à la joie et à la sérénité de Toulon.

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Du zéro à l'infini (Textes revus) L'art de rentrer dans le lard du sujet La Seyne-Sur-Mer Les essais de Pascal Rivière Rencontres de voyages et de hasards Si j'étais Rimbaud ?

Incandescent

Voici une chanson dont le texte m’est venu en me promenant du port des Sablettes vers Mare Vivo sous un soleil couchant et touchant.

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Le Bateau en Rade

🎵 Le Bateau en Rade 🎵Envie de partir, de larguer les amarres ? 🌅🚤 « Le Bateau en Rade » explore ce désir de liberté face aux contraintes de la vie. Inspirée par les magnifiques paysages de La Seyne-sur-Mer et la rade de Toulon, cette chanson parle de nos rêves souvent laissés à quai.

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Les deux sœurs et Les Deux Frères

🎶🌅 Deux Sœurs, Deux Frères – Bossa Nova Vibes 🌊🎵Découvrez notre nouvelle chanson « Deux Sœurs, Deux Frères » inspirée par la French Riviera et l’ambiance douce de la Bossa Nova. 🌴✨Sur la plage des Sablettes, deux sœurs contemplent l’horizon et les mythiques Deux Frères au coucher du soleil. Un moment de paix et de beauté que nous partageons avec vous en musique. 🎶❤️ #BossaNova #FrenchRiviera #PlageDesSablettes #DeuxSoeursDeuxFreres #ChansonFrançaise #MusiqueDouce #RelaxingVibes

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Souviens-toi, Brest

Quatre fois déjà… Souviens-toi, Brest, de ces jours. Je ne suis pas Prévert, pourtant je me lance dans un inventaire, à la manière de ses poèmes.

Première fois, c’était une longue-vue, un partage fraternel, mon père rejeté tel l’écume du jour par la Marine, à l’ombre imposante du musée militaire.

Seconde visite, Plougastel, un Italien un brin mélancolique racontant à fleur de mer, l’exploration des Abers, le circuit des phares. Merzhin en assaut, un concert sur le port où l’on finit pressés, comme les embruns dans l’air salé.

Troisième passage, la Toussaint, les promenades d’un chien errant. Un verre levé dans un bar cher à Kersauzon. Un GPS en déroute au pays des fraises. Une visite pour le travail, puis un au revoir lancé à la volée.

Quatrième escale, une balade, des cerceaux dansant et un florilège de découvertes. Sans doute, un moment d’intimité plus grand avec toi, Brest. Peut-être alors ai-je perçu les battements de ton cœur marin.

Brest, si tu inspires des mélancolies si profondes, c’est que tu tisses des liens indéfectibles. Il faut prendre le temps de te connaître, de s’immerger dans ton atmosphère.

Je n’en dirai pas plus, j’en resterai à ces impressions. Car décrire Brest, sans être initié à ses mystères, c’est comme entrer chaussé sur un sol sacré.

En tous cas, qu’on ne vienne pas dire que Brest n’est pas belle, c’est qu’on est simplement passé à côté, les yeux fermés.

Brest, j’ai la tête à l’ouest et le cœur en rade ! Je ne suis pas Miossec, pourtant il me faut bien te laisser.

Garde bien tes secrets d’Iroise, je reviendrai naviguer sur tes eaux, amarrer ma mémoire à tes quais, tant que le vent me portera.