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Notre-Dame du Bausset Vieux

Peuchère, le sanctuaire de Notre Dame du Bausset Vieux ! Perché là-haut sur sa colline, il en impose, ce vieux caillou. Pour y arriver, c’est une aventure digne des plus grands épopées. La route, elle serpente, elle tourne, elle virevolte ! À croire que les ingénieurs avaient abusé du pastis en la traçant.
Et une fois arrivé en haut, la première chose qu’on fait, c’est de remercier la Vierge. Ah, oui ! On la remercie d’être arrivé entier. Parce que si on avait dû compter sur notre bonne étoile avec ces virages en épingle, on aurait fini plus d’une fois dans le fossé ou le mur! Alors on lui dit merci, à la Bonne Mère, et on respire un bon coup.
Le sanctuaire, il est là, tout tranquille, avec ses vieilles pierres qui sentent le soleil et la Provence. Les croix en fer forgé, elles trônent, fières, comme pour rappeler à tout le monde que c’est un sacré endroit. Et puis, il y a cette petite fontaine, ou ce qui en reste. Si l’eau y coule encore, est-elle bénie ?
Mais ce qui m’a fait le plus rire, c’est cette famille que j’ai croisée là-haut. Des bons pratiquants du judaïsme, avec leurs chapeaux noirs et tout le tralala. Ils étaient là, venus à pieds, en plein lieu chrétien, admirant les croix et les saints. Je me suis dit, c’est ça la Provence ! Un mélange de tout, des olives, du soleil, et des religions qui se côtoient en rigolant.
Les arbres, eux, ils sont là depuis des siècles, ils ont tout vu, tout entendu. Des prières, des rires, des pleurs. Ils restent droits, imperturbables. Et puis, cette vue, oh, cette vue ! On voit tout, on domine tout. La vallée s’étend à perte de vue, c’est comme un tableau peint par un artiste amoureux de sa terre.
Et au milieu de tout ça, il y a cette petite chapelle avec sa cloche. Elle sonne encore, parfois, pour rappeler aux rares visiteurs qu’ils ne sont pas seuls, que l’âme de ce lieu veille sur eux. Ah, Notre Dame du Bausset Vieux, c’est un petit coin de paradis, où même les chemins tortueux de la vie semblent plus doux.
Voilà, tu l’auras compris, ce sanctuaire, c’est un trésor de cette Provence, un lieu où le passé et le présent se rencontrent, où chaque pierre raconte une histoire, où chaque arbre murmure des secrets anciens. C’est un endroit où l’on vient chercher la paix, et où, par un heureux hasard, on la trouve souvent.

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Au Coeur d’Evenos

Au cœur d’Évenos, bastide de roc et de mémoire,
S’étire un sentier caillouteux, discret et vibrant.
Les voûtes ancestrales, vigies des temps jadis,
Encadrent les collines, tableau émouvant.


Sous l’azur provençal, les ruelles sinueuses,
Tissent entre les murs des songes vagabonds.
Le clocher, tel un fanal des âges révolus,
Guide les pas égarés vers des jours plus féconds.


Les vieux moellons content des légendes oubliées,
Des récits de prouesses, d’amours et de concorde.
Chaque recoin témoigne de la pérennité,
D’un passé toujours vif, d’une mémoire qui perdure.


Le figuier déploie ses ramures, ombre charitable,
Quand le mistral entonne un air apaisant.
Les remparts écroulés, vestiges d’antan,
Captivent le regard des passants curieux.


Dans ce vallon verdoyant, entre ciel et garrigue,
Les esprits s’apaisent, les cœurs s’abandonnent aux rêves.
Deux silhouettes cheminent, les mains enlacées,
Traçant leur voie sereine vers un avenir radieux.


Évenos, havre de quiétude et de splendeur,
Dévoile ses mystères à qui sait écouter.
Sous les pierres et les frondaisons, une vieille mélopée,
Nous rappelle qu’ici le temps semble suspendu.

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Les Fleurs et la Flamme

Intro

Couplet 1
Sous le ciel nocturne, la mer se meut,
Ses rouleaux doux tournent sans fin.
Les lumières scintillent, je les recueille,
Tentant de saisir l’instant divin.

Couplet 2
Le souffle du vent vient me caresser,
Mes tensions s’envolent doucement.
Sur le mur en bord de grève, assis,
Je savoure ce précieux moment.

Refrain 1
Ô nuit d’été, mer éternelle,
Bercez-moi de vos doux secrets.
La vie ici semble si belle,
Dans ce moment de paix parfait.

Couplet 3
La nuit m’offre son manteau sombre,
Ô mer, notre mer, je veux jouir
De cet instant régressif et harmonieux,
Laisse-moi ce moment savourer.

Couplet 4
Mais en bord de grève, cette nuit venue,
Un défilé de fleurs s’avance vers moi.
Leurs parfums m’enivrent, vue éperdue,
M’attirant dans un subtil émoi.

Refrain 2
Ô nuit d’été, mer enivrante,
Vos secrets commencent à changer.
La vie ici devient troublante,
Des désirs viennent me hanter.

Couplet 5
Les blondes, les brunes et les rousses,
Chacune avec ses atours, sa grâce,
Cette beauté particulière me pousse
À les admirer, sans laisser de trace.

Couplet 6
Mon âge ne permet plus la cueillette,
Mais qu’il est doux de les contempler,
Un bref instant, discret et honnête,
Pour voir la braise en leurs yeux briller.

Refrain 3
Ô nuit d’été, mer de tentation,
Vos secrets m’ont presque envoûté.
La vie ici est une émotion,
Entre sagesse et volupté.

Couplet 7
Et je sens en moi, douce surprise,
Une flamme qui ne s’est pas éteinte,
Ravivée par leur beauté exquise,
Preuve que le temps n’a pas tout feint.

Couplet 8
Calme tes pulsions, senior lubrique,
Reste un esthète épris de beauté,
Ravi par la vie, son esthétique,
Un spectateur de sa diversité.

Refrain 4
Les fleurs et la flamme, un doux mélange
Qui ravive mon cœur en secret
Mais ne suis-je pas en train de jouer
Avec le feu, ces sentiments dérangent.

Couplet 9
La musique des vagues verse en mon âme,
Une mélodie qui berce mes pensées.
J’espère qu’elle m’accompagnera,
Jusqu’au bout de la nuit étoilée.

Outro
Ô nuit d’été, mer apaisante,
Vos secrets m’ont tant appris.
La vie ici reste enivrante,
Dans ce coeur qui n’a pas tari.

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Rêveries des Sablettes

Sous les palmes tremblantes des Sablettes, ce soir,
La lumière joue, doucement, sur le chemin,
Des ombres dansent, ces murmures du noir,
Et la mer, à mes pieds, fredonne un refrain.


Les lampadaires, étoiles d’un ciel de bitume,
Illuminent les visages de rires éphémères,
Et moi, passant rêveur, auprès de l’écume,
Je laisse mon cœur voguer, libre, solitaire.


Les façades blanches, d’un éclat opalescent,
Gardent en leur sein des histoires de temps passés,
Leurs fenêtres ouvertes, chuchotent doucement,
Des secrets d’antan, des amours enlacés.


Sur le sable endormi, la lune dépose,
Son voile d’argent, tendre et délicat,
Les vagues, complices, chantent une prose,
Tandis que la nuit s’étire, somptueux drap.


Ô Sablettes, tes charmes sont une muse,
Inspirant l’âme à des vers languissants,
Ton air embaumé de souvenirs s’infuse,
Et dans le silence, je deviens enfant.


Promenade d’un soir, douce rêverie,
Où les étoiles veillent sur chaque toit,
Les Sablettes m’enlacent, poésie,
Dans la nuit sereine, je me perds ma foi.

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Il s’en est fallu d’un doigt !

Un doigt dans le cadre au moment de prendre la photo qui aurait dû être un souvenir exceptionnel et voilà que j’ai mis le doigt dans l’engrenage de la créativité !

Il s’en est fallu d’un doigt !

Intro
Yo, écoute ça
La vie tient à un fil, ou plutôt à un doigt
Un rien peut tout changer, c’est comme ça
Il s’en est fallu d’un doigt

Couplet 1
Dans la vie, parfois, un doigt fait la différence
Entre le succès et la malchance
Photo ratée, doigt dans le cadre
La perfection s’envole, c’est le désastre

Couplet 2
Réunion importante, costume impeccable
Un doigt dans le nez, et tout devient fable
Les rires fusent, l’image est brisée
Mais au final, c’est la tension qui s’est dissipée

Refrain
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter

Couplet 3
Email crucial, faut être précis
Un doigt glisse, et c’est le souci
Faute de frappe, le message part
Un doigt de travers, et il est trop tard !

Couplet 4
Doigt sur l’interrupteur, la lumière s’éteint
L’ambiance est gâchée, mais c’est pas la fin
Dans le noir, on rit, on se rapproche
La gaffe devient une chance, pas de reproche

Refrain
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter

Couplet 5
Nos doigts maladroits, source de surprises
Transforment le banal en moments de crise
Mais ces petits riens, ces imperfections
Font de nous des humains, pas des fictions

Outro
Alors lève ton doigt, célèbre tes erreurs
Car il s’en faut d’un doigt pour trouver le bonheur
La vie n’est pas parfaite, c’est ce qui la rend belle
Un doigt de travers, et l’aventure est nouvelle

Refrain final
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter et en profiter!

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Les Murmures de Michel Pacha

Sous le voile nocturne, l’Institut Michel Pacha, à la Seyne-sur-Mer, se dresse face à la baie de Toulon, silhouette fantomatique et solennelle. La façade, autrefois majestueuse avec ses arcs mauresques et ses motifs orientaux, témoigne d’un passé glorieux aujourd’hui effrité. Des murmures d’antan semblent s’élever des murs craquelés, évoquant des récits oubliés et des âmes errantes. À l’étage, une lumière vacille, révélant des plafonds effondrés et des ombres dansantes, comme si les esprits du passé s’agitaient à nouveau.
Les fantômes de marins, de chercheurs, et de Michel Pacha lui-même, hantent-ils les couloirs déserts, leurs voix grinçant dans le silence pesant de la nuit. Le bâtiment, semblant abandonné, devient-il le théâtre d’une danse spectrale où chaque pièce révèle des secrets enfouis. Les faïences aux motifs géométriques semblent briller d’une lueur surnaturelle, ajoutant à l’aura mystique du lieu.
Face à l’Institut, la baie de Toulon s’étend, calme et mystérieuse sous le ciel étoilé. L’eau, paisible et profonde, reflète les montagnes environnantes, créant une scène de tranquillité apparente. Pourtant, sous cette surface sereine, on imagine les remous des souvenirs et des histoires passées, prêtes à émerger à tout moment.
Cette nuit-là, l’Institut Michel Pacha n’est pas seulement un bâtiment en ruine, mais un gardien des mémoires, une entité vivante où passé et présent se rencontrent, dans une mélodie de nostalgie et de mystère.

Je vous présente une nouvelle création musicale intitulée « Les Murmures de Michel Pacha ». Cette chanson explore l’atmosphère mystérieuse et nostalgique de l’Institut Michel Pacha à la Seyne-sur-Mer lorsque le soir tombe, s’ouvrent les murmures d’outre-tombe.

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Cache-cache avec la Lune

Carte postale mise en jazz manouche.

Ce soir, j’ai joué à cache-cache avec la lune,
Dissimulée derrière les palmiers, opportune,
Dans un ciel bleu pâle, de lumière parsemée,
Et moi, en silence, je l’ai cherchée.

La première fois, elle a ri doucement,
Derrière les frondaisons d’un palmier obscurci,
Ses rayons d’argent dansant avec le vent,
Et moi, émerveillé, je suis resté surpris.

Puis, elle a filé, agile et légère,
Cachée parmi les tours de vieilles maisons,
Laissant derrière elle un voile de mystère,
Et moi, comme un enfant, poursuivant son horizon.

Je me cache, cache si tu le peux, Saisis-moi, autant demander la lune, quoi !

Au détour d’une rue, elle a brillé encore,
En haut des cimes des arbres éthérés,
Sa clarté douce caressant le décor,
Et moi, je l’ai vue, ébloui, égaré.

Enfin, elle a révélé son visage serein,
Au-dessus des toits, sous les cieux étoilés,
Dans une danse lente et un silence divin,
Et moi, j’ai compris, la lune m’a trouvé.

Soudain, un éclat, une brillance éclatante,
La lune en feu d’artifice s’est métamorphosée, Des gerbes de lumière, des éclats d’étoiles filantes,
Et moi, sous les palmiers, ébahi, j’ai regardé.

Je me cache, cache si tu le peux, Saisis-moi, autant demander la lune, quoi !

Les palmes des arbres encadraient ce spectacle,
Des feux illuminant le toit des demeures,
La lune jouait, magique ô miracle,
Et moi, envoûté par ces nouvelles lueurs.

Au-dessus des toits, sous les cieux étoilés,
La lune et les feux fusionnaient en une danse, Un ballet de lumière, d’éclats, de clarté,
Et moi, témoin de cette sublime transe.

Ce soir, j’ai joué à cache-cache avec la lune,
Et dans cette poursuite, enchanté du jeu.
Elle a semé des rêves, des rêves opportuns,
Et moi, je n’y ai vu que du feu!

C’est un cache, cache si tu le peux, Saisis-moi, c’est pas demander la lune, quoi !

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Sous la lune à Tamaris

La nuit s’étend comme un tapis de velours,
À Tamaris, où les murs blancs se parent
D’ombres délicates et de secrets murmurés.
Une villa d’Orient, témoin des songes anciens,
Se dresse, silhouette éthérée sous l’œil lunaire.


Les arbres dansent, spectres gracieux,
Leurs branches telles des bras frêles
Caressent le ciel nocturne, un ballet silencieux.
La lune, cette muse au visage d’argent,
Éclaire les tours et les jardins d’un éclat mystérieux.


Chaque fenêtre, chaque pierre respire
L’écho des amours et des soupirs,
Des poèmes gravés dans la mémoire des murs.
Les feuilles chuchotent des histoires d’autrefois,
Des légendes tissées dans le fil du temps.


Ô villa de Tamaris, ton âme résonne
Comme une lyre sous les doigts d’un dieu endormi,
Dans ce royaume où la réalité s’efface
Pour laisser place aux rêves et aux merveilles.


Les étoiles veillent, complices discrètes,
Et la brise nocturne, amante insaisissable,
Joue des mélodies aux notes évanescentes.
Les jardins se métamorphosent en palais de cristal,
Sous le regard bienveillant de la lune alanguie.


Jean Cocteau aurait pu voir dans tes contours
Les lignes floues d’un rêve éveillé,
Un lieu où le réel et l’imaginaire se confondent,
En une danse éternelle sous le ciel étoilé.


Et quand le jour viendra, chassant les ombres,
La villa gardera dans ses pierres la trace
Des poèmes écrits par la lumière de la lune,
Des vers d’argent, gravés dans le marbre du silence.

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La Fourmi et la Cigale

Ah, le Midi en été, ce théâtre où se jouent les rôles éternels de la Cigale et de la Fourmi, revisités à la sauce touristique. Imaginez un instant ce tableau digne d’un humoriste en goguette.
D’un côté, les fourmis. Ces touristes frénétiques, cartes en main, chapeaux de paille vissés sur le crâne, suant à grosses gouttes. Ils s’entassent sur les plages brûlantes, se ruent vers les piscines surpeuplées, se pressent aux caisses des grands magasins, et se faufilent entre les ruelles comme des insectes dérangés. C’est une danse désordonnée, un ballet cacophonique où chacun se débat pour gratter un morceau de soleil, un peu de mer ou un souvenir en plastique. La plage devient leur fourmilière, la piscine leur oasis illusoire.
Pendant ce temps, à l’écart de cette agitation, il y a les cigales. Ah, les cigales ! Ces êtres subtils, intelligents, qui ont compris l’art de vivre sans se perdre dans le brouhaha touristique. À l’ombre des oliviers, loin des foules, ils chantent doucement, sirotent un verre de pastis et savourent la douce torpeur de l’été. La chaleur ne les dérange pas, car ils savent où trouver la fraîcheur sans avoir à la chercher. Ils se reposent, ils philosophent, ils se la coulent douce, ces épicuriens. Pendant que les fourmis s’éreintent, les cigales contemplent le monde avec un sourire en coin, savourant le spectacle de cette humanité désordonnée.
Et l’on se souvient de La Fontaine, bien sûr. Mais ici, la fable est renversée. La cigale a chanté tout l’été et continue de le faire, paisible, sereine, tandis que la fourmi, en vacances, se débat dans son propre chaos. Elle n’a jamais appris à profiter du moment, toujours à courir, toujours à chercher, sans jamais trouver le repos. Si La Fontaine voyait cela, il en perdrait ses vers. Il y a une morale, pourtant : à quoi bon s’agiter comme une fourmi en été, quand on peut se poser et chanter comme une cigale ?
Ainsi, chers touristes, apprenez des cigales. L’été n’est pas une course, mais une pause. Un moment pour ralentir, pour sentir le parfum des pins, pour écouter le chant des insectes, pour vivre simplement. Car la vraie richesse n’est pas dans la frénésie, mais dans la tranquillité de l’instant présent.

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Les Couleurs de Cézanne

Plongez dans l’univers coloré de Paul Cézanne avec cette chanson originale qui célèbre la beauté de la Provence et le génie du peintre. À travers six distiques évocateurs et un refrain évocateur, cette composition vous transporte dans les jardins vibrants qui ont inspiré le maître impressionniste.