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L'art de rentrer dans le lard du sujet Non classé

Je déménage !

Chers lecteurs aussi bienveillants que silencieux,

Aujourd’hui, je suis rempli d’une excitation indescriptible en écrivant ces lignes. Mes pensées ont déménagé d’un blog silencieux et fantomatique vers une nouvelle destination pleine de promesses. Je suis ravi de vous annoncer la métamorphose de mon site !

Ce projet est né d’un moment de douce folie où j’ai ressenti le besoin de repousser les limites de mon expression. J’ai cherché un endroit où mes idées pourraient prendre vie et être partagées avec une communauté plus large. J’ai espéré, peut-être aussi insensément qu’intensément, mais qui ne tente rien n’a rien, n’est-ce pas ?

Ce site est le fruit de ma passion pour l’écriture, la réflexion et l’échange d’idées. J’y partagerai mes pensées les plus profondes, mes réflexions sur le monde qui nous entoure, mes découvertes, mes histoires et bien plus encore. J’espère créer un espace où nous pourrons nous connecter et discuter de sujets qui nous passionnent.

Je vous invite chaleureusement à me rejoindre dans cette nouvelle aventure en vous rendant sur https://aecoute.net . N’hésitez pas à explorer les différents articles, à laisser des commentaires et à partager vos propres réflexions. Votre présence et votre participation enrichiront grandement cette communauté.

Je tiens également à exprimer ma gratitude envers vous, mes lecteurs aussi fidèles et que discrets. Votre soutien mental et vos pensées encourageantes m’ont donné le courage de poursuivre cette passion parfois christique. Sans vous, ce nouveau chapitre ne serait pas possible. Je vous remercie du fond du cœur et j’espère que vous continuerez à me suivre dans cette nouvelle aventure.

Ensemble, nous pouvons faire de ce site un espace d’échange et d’inspiration. Alors, prenons cette chance et faisons naître quelque chose de merveilleux !

Merci encore pour votre soutien continu. J’ai hâte de vous retrouver sur mon nouveau site et de partager de nouvelles histoires avec vous.

Avec gratitude,

Pascal RIVIERE

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L'art de rentrer dans le lard du sujet

L’automate infernal

Contre ce mur à gauche, j’entends résonner les sanglots et les cris,
Du mur droit, les échos de pleurs, les voix de chagrin se multiplient.
La fenêtre grande ouverte, du plus profond jardin, ils rugissent,
Des hurlements et des pleurs, oh les tristes histoires qu’ils décrivent !

Quand cesserons-nous de gravir les marches de l’escalade symétrique ?
Quand mettrons-nous fin à cette assuétude d’adrénaline et de cortisol qui défile ?
Quand la raison du plus faible s’entrelacera-t-elle avec celle du plus fort ?
Quand le souci du fatigué s’harmonisera-t-il avec celui de l’ennuyé, effaçant leurs torts.

Quand l’amour, plutôt que de tendre un fil sur le point de céder, saura-t-il unifier ?
Quand nos esprits s’éveilleront-ils et discerneront-ils la terrible machine tapie dans notre inconscient ?
Les murs pleurent, les jardins hurlent, notre esprit reste endormi,
Dans l’ombre, l’horrible machine veille, elle tient notre vigilance assoupie.

Mais bientôt viendra l’aube, quand nos esprits s’éveilleront et la raison dominera,
Dans un monde où l’amour, plus fort que tout, aura son jour de gloire.
Quand le faible, le fatigué, l’ennuyé, le fort,
En un chœur harmonieux, proclameront ensemble : « À cette mort obscure, nous n’appartenons pas !

Pascal Rivière aidé de Chat GPT 4 et du style de William Shakespeare

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L'art de rentrer dans le lard du sujet

La Vérité ?

La vérité, telle une binocle accrochée au nez,
Se loge à portée, mais l’apercevoir est un secret.
Elle est là, sereine, mais que sert sa présence,
Si l’esprit n’est point ému par son essence.

Nos neurones, indolents, restent sans réaction,
Et la rétine, malgré l’impact, se perd dans l’abstraction.
Le tympan peut trembler, mais en vain il vibre,
Si le cerveau à ses appels reste insensible, libre.

Et même quand la vérité a franchi ce seuil difficile,
Il est impératif de l’accueillir, cette amie subtile.
Comme notre sage Jean, à qui l’on attribue,
De rentrer chez lui, comme en un lieu qui lui est dû.

Pascal Rivière aidé du style de Victor Hugo et de Chat GPT 4

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Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

Cela va de soi !

Voici votre texte avec les corrections d’orthographe, de syntaxe et de ponctuation :

« Rien n’est moins clair que ce qui va de soi !

Cela va de soi ? Non ?

Ce qui est clair, c’est comme le bon sens !

On vous le présente comme un axiome, un truisme !

Quel euphémisme !

Vous rappelez-vous la dernière fois où vous avez croisé « cela va de soi » ?

Moi, il me revient une première qui m’est restée en mémoire.

C’était en salle des profs.

Un importun avait osé entrer sans frapper.

Il s’est fait agonir, conspuer, bannir du lieu sacré où nos éminences grises reposent leurs neurones en devisant sur ces générations incultes !

« Quoi ? Ne pas frapper à la porte avant d’entrer ! Mais quelle ignominie, quelle horreur ! Cela va de soi de frapper à la porte !

Frappez et on vous ouvrira ! Demandez et il vous sera donné !

Le respect, cela va de soi !

Mais curieusement, une espèce d’amnésie semblait frapper ces cerveaux bouillonnants dans cette urne trop pleine. Évaporé, l’épisode précédent où un quidam est resté de longues minutes devant la porte à frapper, frapper en vain, tout en entendant le tumulte au-delà du seuil !

La mémoire courte nous en dit long sur ce qui devrait aller de soi !

La décence, cela va de soi ?

Pourtant, à en croire certains ethnologues, il fut un temps où, chez les Esquimaux, le chef confiait sa femme pour la nuit à son hôte. Signe indéniable d’hospitalité pour les Esquimaux ! Oui, mais pas pour l’Occidental lambda qui voyait là des pratiques de sauvages !

Tout va toujours de soi ?

Croyez-moi, ce qui va de soi, c’est que rien ne va de soi !

Tout est adaptation aux interactions que l’on reçoit quand elles ne sont pas contradictoires.

Mais cela est une autre histoire. »

Pascal Rivière

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Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

« Laisse béton t’es contraint .. »

La cuisine ne repose pas uniquement sur des livres de recettes, tout comme la pédagogie ne se limite pas à des manuels méthodologiques.

Certaines personnes pourraient trouver saugrenu de comparer les nourritures de l’esprit à celles de ce monde terrestre et putrescible.

Considérez la futilité, la fragilité et la fugacité de la vie humaine et vous réaliserez que les savoirs sont également putrescibles. Pensez à ce que sont devenus les pensées des plus grands philosophes, réduites à néant par des personnes en quête de viralité, et vous comprendrez comment les connaissances laborieusement acquises peuvent se gâter. Cependant, ce n’est pas mon sujet principal.

Il est l’heure du repas, j’ai faim. Je suis invité à l’auberge du savoir joyeux où mes frères et sœurs humains ont également été conviés. Je ne suis pas venu ici à la demande d’Hadès, arraché à ma mère et encadré par des cerbères. Je suis venu pour entendre des paroles réconfortantes, car j’ai été progressivement mis en appétit par des personnes bienveillantes prêtes à m’accueillir. Il faut seulement qu’ils ne se transforment pas en ogres des frères Grimm, ni en sorcière d’Hansel et Gretel.

Ils veulent me gaver de savoirs pour ensuite me consommer tout cru, me transformer en nuggets, à l’instar de ces poussins qui passent par le hachoir de la société aliénante et consumériste.

Si je ne fais pas partie des élus, j’aurai la « chance » d’aller m’épuiser en accomplissant les basses œuvres du système jusqu’à en mourir définitivement. Voilà ce qu’est et devient l’enseignement, pourtant dispensé par des hommes et des femmes animés de bonne volonté.

On dirait que l’homme doit être suffisamment intelligent pour travailler pour le système, mais suffisamment idiot pour ne pas comprendre comment il fonctionne. Suffisamment éveillé pour répondre lorsqu’on l’appelle, mais suffisamment engourdi par les somnifères pour ne pas voir qu’il est sous perfusion et esclave.

Mais qui tire les ficelles ? Personne !

C’est le système, point final. Ce sont nos pensées fossilisées. L’ordre de notre monde est ainsi conçu. Il n’y a pas de machination, juste une machine. Elle tourne de cette manière. C’est tout.

La plus belle manifestation des réécritures de l’ordre qui règne sur la terre est actuellement le capitalisme. Mais il n’est qu’un des dignes successeurs de la loi de la jungle qui prévaut sur la planète depuis la nuit des temps.

Le plus faible est mangé par le plus fort, c’est pourquoi il doit s’adapter pour devenir le plus fort qui dévorera le plus faible. Oui, ce sont les lois de l’évolution. Mais comme vous le voyez, l’évolution n’est pas toujours positive pour nous, les hommes, pris individuellement. Nous ne sommes pas les élus. Nous sommes simplement un maillon de la chaîne alimentaire !

Il ne suffit pas de décrire et de comprendre les rouages de la machine. Il est aussi nécessaire de les comprendre en lien avec l’ensemble du système !

Pour cela, il faut faire preuve d’intelligence, avoir le désir d’apprendre, l’envie d’être véritablement libre. Et nous ne pourrons pas y parvenir seuls, nous devons le faire ensemble !

À cette fin, l’éducation et l’enseignement sont fondamentaux !

Il est essentiel que, plutôt que de contribuer à l’Œuvre majeure, nous ne transformions pas l’or en plomb, voire en matières fécales !

Or, en observant l’enseignement, que faisons-nous ?

Au cœur même de la pratique éducative, existe une bifurcation possible, selon la perspective vers laquelle elle est dirigée. Les hommes s’éduquent, les animaux sont dressés. Mais l’éducation humaine peut être conduite comme un dressage. Comme l’a écrit Montaigne : « Au lieu de convier les enfants aux lettres, on ne leur présente, à la vérité, que horreur et cruauté » [Montaigne, Essais, I, XXVI, Paris, Garnier, 1962, p. 178] in Éduquer ou dresser ? Pour une critique du « post-humanisme » Didier Moreau Dans Le Télémaque 2014/1 (n° 45), pages 35 à 56.

Vous pourriez dire que les propos de Montaigne remontent à une époque où les châtiments corporels étaient monnaie courante et qu’ils n’ont plus cours dans les salles de classe. Mais d’autres monnaies ont pris leur place et sont très appréciées sur le marché des échanges de bons procédés pédagogiques : critiquer, blâmer, harceler, menacer, punir, soudoyer, récompenser, manipuler, … Notre créativité n’a pas de limites !

Comme de vrais hommes des cavernes, nous contraignons ! Car nous avons appris à utiliser la force brutale pour nous faire respecter et c’est avec cette force que nous avons porté les lumières de la civilisation.

Mais que reste-t-il lorsque l’on mélange le pudding de la Lumière à l’arsenic de la contrainte ? Des hommes et des savoirs morts ! Des zombies de la science, des golems de la relation.

Nous voulons sauver les apprentissages en contraignant, mais en contraignant, nous dégoûtons de l’apprentissage. Plus nous contraignons, plus nous dégoûtons et plus nous dégoûtons, plus nous contraignons. Ainsi, la fin sans la faim justifie les moyens mais ne parvient pas à ses fins !

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Rencontres de voyages et de hasards

Souviens-toi, Brest

Quatre fois déjà… Souviens-toi, Brest, de ces jours. Je ne suis pas Prévert, pourtant je me lance dans un inventaire, à la manière de ses poèmes.

Première fois, c’était une longue-vue, un partage fraternel, mon père rejeté tel l’écume du jour par la Marine, à l’ombre imposante du musée militaire.

Seconde visite, Plougastel, un Italien un brin mélancolique racontant à fleur de mer, l’exploration des Abers, le circuit des phares. Merzhin en assaut, un concert sur le port où l’on finit pressés, comme les embruns dans l’air salé.

Troisième passage, la Toussaint, les promenades d’un chien errant. Un verre levé dans un bar cher à Kersauzon. Un GPS en déroute au pays des fraises. Une visite pour le travail, puis un au revoir lancé à la volée.

Quatrième escale, une balade, des cerceaux dansant et un florilège de découvertes. Sans doute, un moment d’intimité plus grand avec toi, Brest. Peut-être alors ai-je perçu les battements de ton cœur marin.

Brest, si tu inspires des mélancolies si profondes, c’est que tu tisses des liens indéfectibles. Il faut prendre le temps de te connaître, de s’immerger dans ton atmosphère.

Je n’en dirai pas plus, j’en resterai à ces impressions. Car décrire Brest, sans être initié à ses mystères, c’est comme entrer chaussé sur un sol sacré.

En tous cas, qu’on ne vienne pas dire que Brest n’est pas belle, c’est qu’on est simplement passé à côté, les yeux fermés.

Brest, j’ai la tête à l’ouest et le cœur en rade ! Je ne suis pas Miossec, pourtant il me faut bien te laisser.

Garde bien tes secrets d’Iroise, je reviendrai naviguer sur tes eaux, amarrer ma mémoire à tes quais, tant que le vent me portera.

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La complainte de l’écrit vain

Dans la marche laborieuse des épreuves stoïques, ma pensée se fait hantée par la balade mélancolique de Maître Villon. Au gré d’une déambulation salvatrice, le cours du temps s’est trouvé suspendu. Et de cet instant figé, un bilan s’extirpe, cruel et insoutenable pour mon ego tourmenté.

Je ne suis point Hugo, mais j’ose encore prétendre.

Dans les rets de mes réflexions, je tisse une écriture propre à moi, un filin d’espérance qui, peut-être, viendra se pendre quelque part.

Mes mots, je les ai jetés dans le vaste océan du web, offerts en spectacle sur YouTube, tenté ma chance sur TikTok, Instagram, Facebook, mais je reste comme un spectre à peine visible. Tant à exprimer, tant à partager, et pourtant mes cris se perdent dans cette vallée de larmes, sans écho pour les rattraper. Quel démon m’habite, ce besoin dévorant de clamer mon âme au monde, ce désir fiévreux d’être entendu? J’ai tenté tout ce qu’offre notre terre, mais mon existence reste un murmure inaudible.

Ah! Si j’avais foi en un Créateur, peut-être trouverais-je enfin l’écho tant convoité de ma voix? Malgré mes efforts, malgré mon agitation, je reste un fantôme à peine discerné.

Entendez-vous ce moulin à pensées, tournant sans fin, qui résonne dans la pâleur des nuits, entre deux soubresauts de l’existence? Créer, m’exprimer, tel est mon besoin, mes bouteilles à la mer sont si nombreuses, mais les vagues restent sourdes, et mes appels restent sans réponse.

Ô poètes égarés, qui hantez les rues, après ma disparition, porterez-vous l’écho de ma voix? Tant d’efforts, tant de lutte, pour que mon existence demeure inaperçue. Quel alchimiste de la prose pourrait me révéler la formule secrète qui transcenderait ce silence et ferait retentir ma voix parmi les pensées des hommes?

J’ai gravé, j’ai ciselé, j’ai mélangé, j’ai expérimenté, et pourtant, je reste inaperçu. On dit que mes écrits ont de la valeur, mais lorsqu’il s’agit de trouver un acquéreur, l’indifférence se fait reine. Le silence se dessine déjà à l’horizon de mon parcours, mon œuvre trouvera-t-elle l’immortalité, je n’en sais rien, pour l’instant, je demeure dans l’ombre.

Quand j’entends les absurdités couronnées de succès, je comprends l’injustice de ce monde. En dépit de toutes mes tentatives, mes mots, mes actions, tout reste inaperçu. Un jour, la fin du voyage arrivera, et jusqu’au dernier souffle, je chercherai à briser mon invisibilité.

La vanité, dites-vous? Certes, je vous l’accorde. Mais sans écho des destinataires de mes messages, comment espérer encore, comment garder le courage intact?

Je ne quémande point les louanges des vivants, mais combien je brûle de voir mes messages, telle une étincelle divine, enflammer quelques cœurs, effleurer quelques esprits, se transmettre de cœur en cœur, de tête en tête. Ô combien j’ai aimé l’humain, mais son amour en retour semble me faire défaut.

Quel destin, quel fruit du hasard et des rencontres pourraient me faire émerger de cet océan d’inexistence ? Les frêles esquifs de mes pensées restent invisibles à l’horizon de l’humanité.

On prétend que le succès exige du temps, mais ce temps, à mes yeux, s’apparente à une éternité. Moi qui ai tant lutté, tant espéré, je contemple, las, la vaste mer de l’indifférence. En miroir de mes efforts, rien d’autre que le reflet déformant de ma solitude. Oh, combien amère est la saveur de l’effort sans récompense!

Mais puisque je ne suis pas Hugo, mais simplement moi, je chemine. Je trace ma voie dans l’ombre de mes illustres prédécesseurs, en quête de l’écho perdu de ma voix. Et je continue, malgré le silence, malgré l’oubli, car l’écriture est ma boussole et ma voix, mon seul viatique.

C’est donc là ma complainte, celle de l’écrit vain, mais qui, malgré tout, persiste et signe, comme une flamme vacillante dans l’obscurité, l’espérance d’un écho, le rêve d’une oreille attentive à l’autre bout du monde. Peut-être qu’un jour, mes mots trouveront écho dans le silence, et que mon cri, loin de demeurer vain, résonnera enfin dans l’infini de la poésie.

Pascal Rivière aidé de Victor Hugo et de Chat GPT 4

La complainte de l’écrit vain
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Les Petits Architectes de l’Éphémère : Une Danse avec l’Incertitude

Ah, quelle merveilleuse trame qu’est celle de notre existence, tissée avec les fils subtils de l’entropie et de l’éphémère! Comme des vagues mélancoliques sur l’océan de la réalité, nos vies s’enroulent et se déroulent dans une danse avec le Temps, ce maître impitoyable. Les Parques, telles les prêtresses de l’ordre et du chaos, observent nos âmes vacillantes avec une solennité inébranlable. Pouvons-nous seulement entrevoir la vérité dans les joyaux qui illuminent nos cheminements, ou sont-ils l’écho d’une cacophonie quantique?

Quelle subtile clarté émane du Chat de Schrödinger, un félin ni vivant ni mort, mais suspendu dans une symphonie de possibilités! Son être incertain chuchote les secrets de notre destinée. N’est-ce pas un tableau qui sert de miroir à notre propre incertitude? Les particules de notre essence, tout comme le chat, sont en effervescence, dansant au gré des vents de l’imprévisible.

Ah, chers semblables, ressentez-vous ce frisson? L’angoisse et la liberté s’entrelacent, pareilles aux murmures de la forêt dans la nuit étoilée. En notre poitrine, la dissonance cognitive déchire le voile entre la raison et l’émotion, et nous rappelle notre appartenance aux abîmes vertigineux de l’univers. C’est dans cette valse de tourments et d’espérances que les traits ineffables d’un indémontrable grand architecte se dessinent, aussi insaisissable que le brouillard au matin.

En embrassant l’information, l’entropie de Shannon s’écoule comme une rivière de connaissance à travers notre être. Elle murmure les secrets de l’infini, où tout est écrit et rien n’est scellé.

Ô, cher Blaise Pascal, à travers les âges, ta plume nous guide. Comme le parieur qui défie le ciel, nous nous lançons dans les paris pascaliens de notre existence. Chaque pas que nous faisons, chaque choix, c’est un pari, où le coeur et l’esprit cherchent leur symphonie.

Comment alors, mes frères et mes soeurs en quête, pesons-nous nos désirs dans le château des probabilités? Cherchons-nous l’ataraxie en nous, ou sommes-nous les enfants indociles du destin, comme le philosophe Scythe sous les étoiles?

Je vous implore, ne craignez point l’abîme, car il est source de liberté. Choisissez, embrassez, et sachez qu’en vous, les fils de l’univers tissent l’éternelle symphonie de l’être.

Dans l’océan de l’incertain, le courage est notre compas. Nous voguons avec audace, nos voiles gonflées par les vents de l’espoir, en quête de notre étoile dans les firmaments de l’âme. Car en fin de compte, la vie est un jeu de dés jetés sur le tapis cosmique, et nous sommes, chers amis, les petits architectes éphémères de nos propres légendes.

Et même si ces légendes s’effilochent dans l’inexorable progression de l’entropie, qu’elles se dissipent dans le chatoyant carnaval du hasard et de l’incertitude, elles résonnent pourtant avec une vérité éclatante. Chaque action, chaque inaction, chaque prise et chaque lâcher, marque notre danse avec l’éternité.

Nous sommes les sculpteurs du marbre de l’instant, où chaque coup de burin est un pari face au silence du futur. Et, comme un vol d’oiseaux dans le crépuscule, chacune de nos décisions s’envole, tisse une mélodie, une symphonie d’interactions, d’échos et de silences.

Quand viendra le moment de quitter la table du grand casino de la vie, il se peut que nos mains soient vides, que nos poches soient légères, mais nos cœurs, ah, nos cœurs seront remplis d’une richesse indéfinissable. Car en dépit de l’incertitude qui défie notre compréhension, malgré l’angoisse qui se love dans l’ombre de chaque choix, chaque renoncement, chaque instant vécu est une affirmation de notre liberté, une célébration de notre humanité.

Nous sommes, mes amis, les petits architectes éphémères de nos propres légendes, dansant à la lisière du connu et de l’inconnu, sculptant des histoires dans le sable du temps, avant que la marée de l’oubli ne les efface. Et bien que notre danse ne soit qu’une esquisse fugitive sur le vaste canevas de l’univers, elle est, dans toute son imperfection, une beauté ineffable, un écho éternel du grand mystère qui est la vie.

Pascal Rivière en collaboration avec le style de Blaise Pascal et l’intelligence de Chat GPT 4

Les petits architectes de l’univers
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LA POÉSIE DE L’ALÉATOIRE ET DES SENTIMENTS

Facebook décide que je dois avoir certains souvenirs.

Ah bon ? Le propre du souvenir n’est-il pas de jaillir d’une rencontre impromptue dans un moment où le présent entrechoque le passé, comme le parfum de la madeleine celui de la tasse de thé ?

Est-ce au grand algorithme de faire faillir une réminiscence des tréfonds d’un calendrier ?

Faut-t-il se souvenir à la date, comme d’un défunt à la Toussaints ?

Revoyez vos programmes Mr Zuckerberg.

Laissez une place au hasard des croisées des mots et des idées avec notre passé, au fil des rencontres. Comme le regard du voyageur évoque des images passées en croisant les images présentes, comme un parfum exhale un jardin oublié de notre enfance.

Laissez à nos évocations la poésie de l’aléatoire et des sentiments !

Pascal Rivière

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Le Bateau Vivre ..

Le temps passe… Nonchalant… Le monde nous mène en bateau. Un homme de plus en plus âgé se dit ici qu’il est temps de rédiger son testament. C’est un message d’un errant adressé aux autres errants de cet univers et aux petits-enfants de la Terre. Aux générations futures qui voudront bien tenter de le comprendre.

Dans les pages de ce blog, j’explique mes motivations, très banales et somme toute très vaniteuses, à écrire.

Laisser un message aux générations qui suivent, si elles le veulent !

Le métier d’enseignant m’a bien fait comprendre, au fil du temps, que rien ne se transmet si l’autre n’en veut pas.

Mon besoin de transmission, non génétique mais intellectuelle, cherche juste à remplir ici et maintenant ce besoin de reconnaissance et de valorisation qui me tenaille depuis l’aurore de ma vie. Il me chatouillera encore jusqu’à la nuit qui sera cachée par le crépuscule.

Ces besoins ne seront comblés que si je remplis ceux des lecteurs de ces lignes, s’ils sont parvenus jusqu’ici.

C’est une tâche difficile dans ce monde fait d’immédiateté, de bling-bling, d’accroches et de trompe-l’œil.

Je me hâte d’écrire sur un support qui durera peut-être. Je joue aux dés, en pariant sur la survie de ce site de blogs. Le reste appartient au destin, aux lois de l’organisation et du chaos, à cette énergie qui peut jaillir soudainement ou qui ne viendra jamais…

« Alea jacta est » disait l’autre que je ne suis pas. Mais comme lui, je franchis le pas. Le Rubicon avant le Styx, que j’espère encore lointain, mais qui me motive « hic et nunc »…

Qui vivra verra, qui lira saura peut-être et peut-être pourra..

Il sait bien que n’écoute que qui veut entendre, mais je prends le risque d’être une voix dans le désert, de lancer une bouteille à la mer.

Confie tes pensées amères à la mer. Que l’écume les emporte et que les vagues les enroulent, tels les mouvements usuels du quotidien. Inutile de se rebeller face au mouvement des vagues. Elles ne peuvent qu’aller et venir. Comme la marée ne peut qu’inlassablement aller et venir au fil du temps. Les mouettes lancent leurs cris sporadiques, mais ce n’est que le cri d’un fou, d’un passant face à l’inexorable mouvement du temps. Ce sont les signes de ponctuation du long discours de la vie et de la mort des éléments d’un monde en mouvement.

Pascal Rivière