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L'art de rentrer dans le lard du sujet

Acte d’accusation contre l’ultra-capitalisme

Monsieur le Président,
J’accuse!
J’accuse, en ces temps d’ultra-capitalisme, les serviteurs de la déesse-argent de sacrifier l’âme de l’humanité sur l’autel de la cupidité. Ces fils du néo-libéralisme, disciples des marchés dérégulés, détournent les idéaux de la fraternité et de la solidarité qui devraient guider nos sociétés.
Monsieur le Président, Karl Marx nous avertissait déjà de l’exploitation inhérente au capitalisme, où le prolétariat était opprimé par les forces du capital. Et voilà que sous nos yeux, le monstre du néo-libéralisme, plus vorace que jamais, dévore les plus faibles.
J’accuse les marchés financiers de s’ériger en nouveaux dieux, exigeant de la société des sacrifices sans fin, sans égard pour la dignité humaine. Nous assistons à la glorification de la compétition, de l’égoïsme, à l’établissement de lois qui honorent le veau d’or et condamnent les êtres humains à la servitude économique.
J’accuse les politiques de dérégulation et de privatisation, engendrées par le néo-libéralisme, de saigner les services publics qui devraient protéger les citoyens. Les hôpitaux, les écoles et les institutions qui incarnent le cœur de notre pacte social sont vendus au plus offrant, privant la masse de la possibilité d’une vie digne.
J’accuse les multinationales de sacrifier l’environnement et l’avenir de nos enfants pour remplir leurs coffres. Leurs actions mettent en péril les ressources de notre Terre-Mère, et l’on regarde sans broncher l’air se vider de sa pureté, l’eau de sa clarté, et la terre de sa fertilité.
J’accuse les médias, complices de ce grand théâtre, de distiller un discours qui réduit l’homme à une simple unité économique, et qui le force à se prosterner devant le marché en croyant en sa main invisible, alors qu’il n’est qu’un pantin dans un jeu orchestré par les puissants.
J’accuse les dirigeants qui, aveuglés par leur soif de pouvoir et de richesse, ignorent les cris de leurs concitoyens qui dépérissent dans la misère. Ils se complaisent dans leurs palais, pendant que l’ouvrier peine et que le chômeur désespère.
En écho à Émile Zola, qui s’insurgeait contre l’injustice et l’aveuglement de son époque, je vous implore, Monsieur le Président, de ne pas rester sourd aux souffrances de ceux que le néo-libéralisme a laissés pour compte. Réveillons-nous! Le véritable progrès est celui qui met l’humain au centre, qui bâtit des ponts et non des murs, et qui cherche l’harmonie plutôt que la domination.
C’est en faveur de la justice, de l’égalité et de la fraternité, que je lance cet appel. Résistons à la tentation de vénérer l’argent et retrouvons le chemin de la coopération, de l’empathie et de la compassion.
Monsieur le Président, l’histoire est un fleuve impétueux, et nous sommes tous de petits cailloux dans son courant. Mais c’est en unissant ces cailloux que l’on peut construire des digues, changer le cours des eaux et façonner l’avenir.
J’accuse, mais j’espère aussi. J’espère que nous puissions repenser notre modèle de société. Prenons exemple sur les grandes figures de l’histoire qui ont combattu pour l’égalité, comme Marx, qui s’est insurgé contre les inégalités inhérentes au capitalisme. Souvenons-nous que nous sommes capables de grandeur lorsque nous plaçons l’intérêt commun au-dessus de l’intérêt individuel.
J’en appelle donc à un renouveau, à une révolution des cœurs et des esprits. Qu’il ne s’agisse pas d’une révolution violente, mais d’une révolution éclairée, guidée par les principes de solidarité, de partage, et de respect envers l’humanité et la Terre qui nous nourrit.
Que notre objectif ne soit plus la croissance perpétuelle d’un PIB qui ignore le bien-être des citoyens, mais l’éclosion d’une société où chacun a accès à l’éducation, à la santé, à un travail digne et à un environnement sain.
Monsieur le Président, il est de votre devoir, et du nôtre en tant que citoyens, de défendre ces valeurs, de lutter contre l’asservissement de l’homme par l’homme, et de bâtir un monde plus juste. Ce monde n’est possible que si nous renonçons à l’adoration aveugle du profit, et si nous choisissons la voie de l’humanisme et de la coopération.
C’est un combat ardu, mais noble, et il est impératif que nous l’emportions pour les générations futures, de peur qu’elles ne maudissent notre inaction et notre complaisance face à un système qui les aura asservies.
Avec une foi indéfectible en l’humanité et en son potentiel de changement, je vous adresse, Monsieur le Président, mes plus respectueuses salutations.
Citoyen(ne) engagé(e),
Imaginez ce genre de texte envoyé au Président Macron ?
Dans la série l’Art du Prompts voici ce que Chat GPT4 m’a produit lorsque je lui ai demandé : « Pourrais-tu me faire un j’accuse dans le style d’Emile Zola avec les idées de Karl Marx mais contre le néo-libéralisme et ses pratiques où l’homme est asservi par l’homme au profit du profit et d’un petit nombre de nantis au détriment d’une masse de plus plus grande d’humains qui s’appauvrissent ?

Pascal Rivière aidé par ChatGPT4, la pensée de Karl Marx et le style d’Emile Zola

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Mais où va-t-on ? - Indignation et rébellion

Message aux programmeurs du GAFAM et à leurs équipes marketing

Mesdames et Messieurs les programmeurs du GAFAM, comment vous l’exprimer ?
Vos algorithmes, ceux que j’adore en des instants choisis, je les déteste à d’autres. Combien d’occasions dois-je encore endurer vos artefacts et bidules, qui déchaînent autant de fureur qu’un sinistre homonyme en des périodes de neurones décadents ?
À combien d’échéances encore vos images de jeunettes en déficit de mâles au crépuscule de la libido, vos monte-escaliers pour mes genoux criblés d’arthrose, ces prothèses acoustiques à expérimenter, ces acquisitions dont il ne persiste qu’un exemplaire ?
Vous me gonflez autant que cette prostate que vous tentez de me suggérer !
Comment vous formuler, en un terme comme en cent, que j’en ai assez d’être pris pour cible dans votre stand de tir aux clays pour capitalistes voraces de profits ?
Frappant sur le clavier d’un doigt rageur, je lance cet appel vibrionnant, ce cri de l’âme aux confins de la folie et de l’absurde. Comprenez, mesdames et messieurs les programmeurs, que je ne suis pas un vieillard décérébré en quête de monte-escaliers et de prothèses auditives, ni un débauché dénué de morale en proie à la dépravation.
Je suis la chair révoltée, la voix de ceux qui sont lassés de la vacuité de votre technocratie arrogante. Je suis l’écho de l’absurde dans vos silences, le point d’exclamation dans vos phrases interminables de codes et de chiffres.
Et j’attends, oui, j’attends. De ce minuscule clic que vous espérez, j’aspire à vous décocher en un coup retentissant, une gifle monumentale. De ce petit geste que vous anticipez, je désire faire surgir un ouragan, une tempête dévastatrice qui ébranlera vos convictions, vos certitudes.
N’oubliez jamais, programmateurs du vide et de l’absurde, que derrière chaque interface, chaque écran, chaque pixel, il y a une âme, une conscience, une voix. Et cette voix, oui cette voix, elle peut être le murmure d’un vent léger, mais elle peut aussi être l’ouragan qui déferle.
Un simple clic, et votre monde peut basculer.
Oui, d’un simple clic vous pourriez recevoir une grande claque !
Avec l’aide d’Antonin Artaud et de Chat GPT 4

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L'art de rentrer dans le lard du sujet

Plaidoyer pour deux noyés

(Refrain)
Titan panique, noyé dans le néant,
Migrants dissous, puissants portés par devant,
Tout se paye en argent, triste ritournelle des gens.
(Couplet 1)
Petit prince d’Asie, rêves étoilés en bandoulière,
Dans ton sous-marin de bazar, tu flottes, cherche la lumière.
Le souffle court, le regard terrifié,
Poupée d’Orient, tu cherches l’asile, une terre où tes pas pourraient t’accrocher.
Le Titan? Un mythe, quand on vit en exil, entre peur et misère,
Dans ton esquif fatigué, tu risques tout, heure sévère.
(Refrain)
Titan panique, noyé dans le néant,
Migrants dissous, puissants portés par devant,
Tout se paye en argent, triste ritournelle des gens.
(Couplet 2)
Le sous-marin claque, l’océan gobe ton rêve,
Ton ciel étoilé se noie, lorsque la pression te fauche, pauvre lièvre.
Ta barque chavire, englouti ton espoir,
Quand l’onde détruit ton avenir, tu deviens l’écho d’une histoire.
(Refrain)
Titan panique, noyé dans le néant,
Migrants dissous, puissants portés par devant,
Tout se paye en argent, triste ritournelle des gens.
(Pont)
Adieu, rêves de conquête, je ne suis plus l’esclave de la peur,
On t’a vendu le voyage, cruel cadeau d’inconnus aux cœurs de pierre.
Je redeviens une vague, ils m’avaient promis l’Angleterre,
Cette existence tant aimée n’est-elle, au bout du compte, qu’un radeau pour l’enfer?
(Refrain)
Titan panique, on nous noie dans le néant,
Migrants dissous, puissants portés par devant,
Tout se paye en argent, triste ritournelle des gens.
(Fin)
Les vies, les drames, les naufrages de l’ère,
Les médias, les idées fausses, les vies sacrifiées, les désillusions amères,
Nous font tous naufragés, dans le grand livre des humains.
Deux voyageurs au fond, si dissemblables pourtant,
L’un honoré, l’autre anonyme, engloutis dans le même élan,
Dans l’histoire des gens, tout n’est que monnaie, c’est affligeant.
Après Manathan Kaboul l’homme est toujours aussi maboul !

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

Le jeu des échecs

Chers collègues,
Le paradoxe de cette situation est poignant. En utilisant le terme « cher collègue », on peut parfois percevoir une certaine ambiguïté, comme si nos propos pouvaient être à la fois bienveillants et méprisants. Je me souviens d’un collègue plus expérimenté qui employait cette formule avec un ton ironique, à mon égard. Aujourd’hui, je réalise que je me trouve moi-même dans une situation similaire et paradoxale.
Il est 4h 13. J’écris ces lignes à une heure où le sommeil me fait défaut, mes pensées en ébullition suite aux événements de la semaine dernière, ces « exploits » répétés qui m’ont profondément perturbé.
L’humanisme, concept si central à notre profession, est abordé de manière pour le moins contradictoire par l’auteur Yuval Noah Harari dans ses ouvrages comme Sapiens et Homo Deus. Il affirme, étonnamment, que l’eugénisme et le génocide pourraient être vus comme des formes d’humanisme car ils visent une certaine forme d’amélioration de l’espèce humaine – une amélioration radicale, certes, mais une amélioration quand même.
Récemment, lors d’une réunion, un de mes collègues a suggéré que certaines de nos pratiques pédagogiques pourraient être qualifiées de « génocidaires ». Cette assertion, aussi déconcertante soit-elle, a mis en lumière une réalité alarmante de notre système éducatif.
Ironiquement, en dénonçant ces pratiques, je réalise que je suis moi-même en train de commettre une forme de violence. Cette dénonciation est, en effet, une agression, une blessure que j’inflige à mes pairs. Pourtant, face à l’intolérable, je ne vois pas d’autre issue. Et je ne doute pas que ceux qui pratiquent cette méthodologie en quête de la « solution finale », qui condamnent les étudiants par colonnes entières de points insuffisants, sont également mûs par le désir d’améliorer une situation qu’ils jugent insupportable.
Il est temps de changer de paradigme. Nous devons nous inspirer de penseurs comme Philippe Meirieu, qui plaide pour une éducation fondée sur le respect de l’autre, l’encouragement de l’autonomie et la promotion d’un apprentissage actif et engageant.
Rappelons-nous que l’éducation n’est pas une entreprise de dressage, mais un processus délicat d’accompagnement et de soutien de l’apprentissage. Nos méthodes doivent refléter notre engagement envers les valeurs humanistes que nous cherchons à transmettre.
Chaque étudiant est une promesse d’avenir, et non un produit à façonner selon des critères prédéfinis. Notre mission est de guider et d’accompagner, pas de contraindre ou d’éliminer.
L’erreur, dans cette optique, n’est pas une faute à punir, mais une occasion d’apprendre et de grandir. L’échec n’est pas une fin en soi, mais un signe que le chemin de l’apprentissage est encore ouvert et qu’il reste du travail à accomplir. C’est un indicateur de progrès, un rappel que l’apprentissage est un processus, non un produit fini.
Je vous implore donc, chers collègues, de repenser notre approche de l’enseignement. Nous devons reconnaître et accepter nos propres contradictions et nos erreurs. Oui, en dénonçant certaines pratiques, je me rends coupable de la même violence que celle que je condamne. Mais c’est le prix à payer pour révéler l’intolérable, pour faire bouger les lignes et envisager des alternatives.
La valorisation de l’échec dans notre système éducatif est analogue à l’ancienne pratique de la saignée en médecine. On pensait autrefois qu’elle était salvatrice, mais en réalité, elle affaiblissait les patients et les conduisait à leur perte.
Dès la session d’examen, une lutte titanesque s’engage, semblable à une partie d’échecs infernale. Des enseignants, en quête de prestige et de charisme, se lancent dans une compétition impitoyable contre des vagues d’apprenants avides de qualifications.
En repensant aux soldats de 1914-18 qui tombaient par pelotons entiers pour une avancée minime, je me rends compte que nous sommes en train de répéter le même schéma d’autodestruction, encore et encore. Tous ces échecs, finalement, ne servent à rien.
Nos pratiques pédagogiques ne doivent plus être une source de souffrance et d’échec, mais un levier de progrès et de réussite. Notre mission, en tant qu’éducateurs, est de créer un environnement propice à l’épanouissement de chaque élève, où l’erreur est perçue non pas comme un échec, mais comme une étape nécessaire dans le processus d’apprentissage.
Nous devons aussi nous interroger sur le message que nous envoyons à nos élèves. Si nous prêchons le respect et la bienveillance, mais que nous utilisons des méthodes autoritaires et punitives, quel message nos élèves vont-ils retenir ? Souvenons-nous que nos actions parlent plus fort que nos paroles. Si nous voulons des élèves autonomes, responsables et bienveillants, nous devons leur montrer l’exemple.
Il est temps de mettre fin à la pratique de l’échec. Nous devons nous engager sur la voie de l’humanisme, de la bienveillance et du respect mutuel. C’est le seul moyen de créer un environnement d’apprentissage sain, stimulant et gratifiant, où chaque élève peut se sentir valorisé et réussir.
Je vous en prie, chers collègues, engageons-nous dans cette voie. Pour le bien de nos élèves, pour le bien de notre profession, et pour le bien de notre société.
Il est 5h14, je vous laisse. J’ai vidé mon sac, j’espère retrouver un sommeil plus léger.

Pascal Rivière

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Pour la Mémoire de l’Humanité : Un Plaidoyer contre le « Patrimoinicide »

Mesdames et Messieurs,

Je me tiens devant vous aujourd’hui, non pas en tant qu’un individu, mais en tant que porte-parole des ombres silencieuses de notre passé, les voix muettes de notre héritage qui ont été réduites au silence par des actes insensés et irréfléchis de destruction.

Ces témoignages, qui ont traversé le temps comme par miracle, ont été lâchement assassinés sur l’autel de l’intégrisme, du profit ou de l’oubli. Les Bouddhas de Bâmiyân en Afghanistan, le temple de Baalshamin à Palmyre en Syrie, les précieuses manuscrits de la Bibliothèque de Bagdad en Irak, l’antique cité de Nimrud également en Irak, le noble Parthénon en Grèce et même les humbles menhirs d’une époque lointaine en France. Ils portent tous les stigmates de notre négligence.

Les siècles passés n’ont pas été tendres avec le Grand Sphinx de Gizeh en Égypte, rongé par l’érosion et le vandalisme. La Tour de la Victoire en Inde a survécu aux attaques et aux dégradations, symbole de la résilience de l’histoire face à la bêtise humaine. Pourtant, elles sont des preuves vivantes de notre histoire commune, de nos racines culturelles partagées et de notre héritage humain collectif.

Nous ne parlons pas ici de simples pierres et de mortier, de bois et de parchemin, mais de la sagesse et de l’humanité qu’ils incarnent. Ce sont des émissaires du temps, porteurs d’histoires, de connaissances, de vérités et de beautés qui ne demandent qu’à être partagées. Chaque acte de sauvagerie qui efface un vestige de notre histoire est un coup porté à la mémoire collective de l’humanité, une amputation de notre conscience collective, un oubli forcé de ceux qui ne sont plus.

Il est donc impératif, urgent, que des tribunaux internationaux soient créés pour juger ceux qui se rendent coupables de ces actes de vandalisme contre notre mémoire. Ces « raseurs de mémoire », ces « aliénateurs de conscience », ces destructeurs de vestiges doivent être tenus responsables. Nous ne devons pas nous contenter de condamner ces actes, nous devons agir pour les empêcher.

Je vous appelle donc aujourd’hui à vous joindre à moi, à vous lever contre le patrimoinicide. Faisons de la protection de notre patrimoine une priorité. Laissons ces sites endommagés être les dernières cicatrices de cette guerre contre la mémoire. Parce que sans mémoire, sans héritage, que sommes-nous ?

N’oublions pas, et ne laissons pas notre monde oublier, que nous sommes les gardiens de notre passé, les architectes de notre présent, et les bâtisseurs de notre futur. Chaque vestige, chaque monument, chaque livre brûlé, est une partie de nous qui est perdue à jamais. Ce n’est pas seulement un crime contre l’art ou l’histoire. C’est un crime contre l’humanité elle-même.

Et pour ces crimes, il n’y a pas de prescription. L’acte d’effacer notre passé, notre héritage, est un acte qui viole non seulement les lois de l’humanité, mais aussi les lois de la nature. Car en détruisant notre histoire, nous perturbons l’ordre naturel de la transmission de la connaissance, de la sagesse et de l’expérience de génération en génération.

Il est donc impératif que nous agissions. Nous, qui avons la responsabilité de protéger notre patrimoine, devons nous élever contre le patrimoinicide. Nous devons veiller à ce que chaque acte de destruction soit non seulement condamné, mais aussi empêché. Nous devons insister sur le fait que la destruction de notre patrimoine n’est pas seulement un acte de vandalisme, c’est un acte de guerre contre la civilisation elle-même.

Au-delà des appels à la justice, nous devons œuvrer pour la préservation et la protection. Nous devons investir dans la restauration des sites endommagés, dans l’éducation pour instiller une appréciation et une compréhension de l’importance de notre patrimoine. Il est de notre devoir de transmettre à nos enfants un monde riche non seulement en ressources matérielles, mais aussi en ressources culturelles et historiques.

Parce que nous sommes les gardiens de notre passé. Parce que nous sommes les architectes de notre présent. Parce que nous sommes les bâtisseurs de notre futur. Et si nous laissons ces criminels détruire notre passé, alors nous leur permettons de détruire notre futur.

Je vous appelle donc à vous joindre à moi dans cette noble tâche. Ensemble, nous pouvons garantir que chaque édifice, chaque œuvre d’art, chaque livre qui a survécu aux ravages du temps, survivra aussi aux ravages de l’ignorance et de la haine. Ensemble, nous pouvons veiller à ce que notre passé continue à vivre dans notre présent et à illuminer notre futur. Ensemble, nous pouvons faire la différence. Parce qu’ensemble, nous sommes l’humanité.

Grâce à mes idées et à collaboration de ChatGPT, j’ai reveillé la voix d’André Malraux pour ce vibrant plaidoyer

Pascal Rivière

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Mistron Ronron

Le matou est bien dans mon assiette, la tête posée sur la serviette en guise d’oreiller. Il rêve en fin gourmet des plats en train de s’achever. Il sera en première loge quand arrivera le met tant convoité. On reconnaîtra sa patte dans la préparation des viandes, surtout le bœuf et le poulet. Quant au poisson, il n’en veut pas. Sa Majesté n’apprécie pas.
Malgré ce minois si doux et ce ronron charmant, ne nous y trompons pas. Notre Mistron Ronron mijote quelque mauvais coup. À la première occasion, le fripon frappera tel un chafoin pour tenter de se sustenter. C’est vrai que sa bedaine semble indiquer qu’il est sous-alimenté.

« Mistron Ronron » : Une aventure musicale féline née d’une collaboration homme-IA

Mistron ronron

Chers amis mélomanes et amoureux des chats,

Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter cette création musicale qui s’intitule « Mistron Ronron ». Cette chanson est le fruit d’une expérience unique mêlant créativité humaine (le texte ci-dessus) et intelligence artificielle. Je tenais à partager avec vous les coulisses de cette aventure musicale un peu particulière.

La genèse du projet

Tout a commencé par une simple idée : raconter en musique les péripéties d’un chat gourmand et espiègle. J’avais en tête l’image de ce matou rusé, toujours à l’affût d’un bon repas, et je voulais capturer son essence dans une chanson. C’est là que j’ai eu l’idée d’explorer les possibilités offertes par l’IA pour m’aider dans ce processus créatif.

Une collaboration homme-IA

En travaillant avec un assistant IA, j’ai pu affiner mes idées et structurer la chanson. L’IA m’a aidé à organiser mes pensées, à proposer des rimes et à respecter le style jazz be-bop que je souhaitais pour cette composition. Cependant, je tiens à souligner que le résultat final est le fruit d’un va-et-vient constant entre les suggestions de l’IA et mes propres ajustements créatifs.

Le résultat : « Mistron Ronron »

« Mistron Ronron » est une chanson jazz be-bop qui raconte, avec une pointe de sarcasme, les aventures d’un chat nommé Mistron. Les paroles décrivent ses tentatives de chapardage, sa gourmandise insatiable et ses siestes stratégiques, le tout sur un rythme entraînant typique du be-bop.

Le refrain « Mistron Ron Ron, c’est un fripon, un chaffoin qui fait du foin » résume parfaitement l’esprit de la chanson : un mélange d’affection et d’exaspération que tout propriétaire de chat connaît bien.

Une expérience enrichissante

Cette expérience de co-création avec une IA a été très enrichissante. Elle m’a permis d’explorer de nouvelles façons d’aborder le processus d’écriture et de composition. Bien que l’IA ait été d’une grande aide, je tiens à préciser que la touche finale, les ajustements et l’interprétation restent profondément humains.

Écoutez « Mistron Ronron »

Je vous invite à découvrir « Mistron Ronron » sur ma chaîne YouTube [insérer le lien ici]. J’espère que cette chanson vous fera sourire et peut-être même reconnaître un peu de votre propre chat dans les aventures de Mistron !

N’hésitez pas à me faire part de vos impressions dans les commentaires. Votre retour est précieux et m’aidera à continuer à explorer de nouvelles voies créatives.

Merci de votre soutien continu, et longue vie à Mistron Ronron !

L’Oreille du Psy

P.S. : Si vous êtes curieux d’en savoir plus sur le processus de création assistée par IA, je serais ravi d’en discuter plus en détail. N’hésitez pas à me poser vos questions !

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Mon « je » d’enfant

C’était le temps des genoux cagneux, des cheveux crasseux,
Des échappées effrénées dans le jardin en fleur,
De l’escalade des arbres à fruits, défis audacieux,
Des explorations de la remise, un univers sans heur,
Et de l’envol libre sur la balançoire,
Dans la soupe, l’herbe coupée se mêlait à l’eau, dans une cafetière recyclée, étrange histoire.
Sur l’écran noir et blanc, se dessinaient les jeux sans frontières,
Des « Francophonissimes », des « Visa pour le Monde » et des « Jardins Extraordinaires »,
C’était le temps des Yéyés, de Johnny, de Henri Salvador, des Charlots,
De Polnareff, de RTL et RMC, des « Indiens partout » de Carlos, des « Quand on est musiciens » des Sunlights chanté devant la classe peigne et papier de soie à la main.
Les Beatles s’agitaient à la télé, mais la radio, elle, chantait le plus souvent en français.
Des Arsène Lupin, malins et vaillants,
Des « Amicalement vôtres », rebondissants,
Des grimaces de de Funès, dans leurs éclats joyeux,
Des rires de Bourvil, des empoignades animées,
De Peppone et Don Camillo, dans leurs joutes trépidantes et enflammées.
C’était le temps où je dévorais, relisais,
Les albums de Spirou, de Tintin, un trésor sans fin,
Dans un monde de papiers, discrètement, je m’évadais.
Les vacances en Provence, chez la vaillante tante Iris,
Imprégnées de l’odeur des pins, des effluves du thym, quel délice,
Châteaurenard, sa tour ostensible et ses platanes puissants, son marché aux fruits et légumes vibrants, sa supérette baignée de Jazz, le cadeau Bonux de chez Taton, un trésor flamboyant, sous l’ombre protectrice des canniers, les balades à vélo, un souffle à coeur,
Le bruit doux de l’eau, le chant incessant des cigales, l’accent méridional, si particulier, si enchanteur.
Joli temps d’avant, peu à peu éteint, consumé,
Temps à jamais passé, mais à jamais gravé dans ma mémoire,
Quand revient l’été, avec délice, j’aime à en feuilleter les pages, émerveillé.
Telle est la mélodie de mon « je » d’enfant, entre jeux de mots et jeux de moi. Comme une chanson douce et familière, elle résonne encore en moi, au rythme des saisons qui passent, mais ne s’efface. Cette symphonie d’instants volés à l’enfance où j’aime à me ressourcer, redécouvrir ce « je » d’hier, qui fit ce « je » ici et maintenant, forgé de ces souvenirs précieux, ces éclats de rire, ces parfums d’été. C’est là, dans les pages jaunies de ma mémoire, que se trouve un refuge, un havre de paix, une source intarissable. Là où le temps s’est arrêté, là où chaque instant reste un trésor. Mon « je » d’enfant, ma plus belle histoire.

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Sous le grand arbre

Sous le grand arbre, je prends souvent racine. Autour de ce vieux marronnier, les années défilent, tissant les fils du temps au cœur de l’édifice ancien. Les souvenirs remontent à la surface en douceur, réveillés par les échos d’un passé qui s’est enfui.
Ce tronc imposant, témoin silencieux de la vie qui passe, a vu défiler des enseignants, des éducateurs, des assistants sociaux, des têtes blondes devenues cheveux gris. Tous, en quête de savoir, de savoir-être et de savoir y être, ont formé autour de cet arbre une ronde incessante de vies s’entrecroisant, de destins se nouant et se dénouant. Ensemble, ils ont œuvré à l’édification de notre humanité.
Combien d’amours naissantes ont trouvé refuge sous ses branches ? Combien d’histoires se sont achevées dans le murmure de ses feuilles ? Combien de conversations infinies ont-elles été échangées sous son ombre bienveillante ? Combien de rires et de larmes, d’étreintes chaleureuses et de cris de colère, ont-ils marqué le quotidien à ses pieds ?
Pourtant, l’arbre demeure, impassible. Ce matin d’été, le vent s’amuse dans sa chevelure végétale, faisant danser ses feuilles avec une sérénité apaisante. À l’automne, elles s’adonnent à une ronde effrénée. Stoïque, il résiste aux mutations des us et coutumes qui se métamorphosent au fil du temps.
Les souvenirs reviennent, dansent comme des séquences d’un film en noir et blanc : des normaliennes en train de jardiner, leurs mains caressant la terre avec douceur, des rangs d’uniformes progressant au rythme cadencé de leurs pas sur le pavé.
Il y a eu un temps où le sol était jonché de mégots de cigarettes, souvenirs des moments volés à l’ombre du feuillage pour une bouffée de liberté. Aujourd’hui, ces indécents ont été relégués au loin. Des nids-de-poule étaient autrefois couvés par les pneus, avant que l’asphalte ne vienne protéger la terre des stigmates et que les lignes blanches ne dictent la conduite à suivre.
Ces empreintes du passé, ces fragments de vie, se mêlent en une symphonie visuelle, une ode à la nostalgie. Dans cette partition de souvenirs, chaque note est un éclat du temps passé, un fragment d’histoire qui prend vie sous le vieux marronnier, telle une poésie gravée dans l’écorce du temps.

Arbre oblige, dans le style classique j’ai repris Jean Racine, cela pourrait ressembler à ceci :
Sous le grand arbre, je m’attache et fais racine,
Où le temps, ce vieux marronnier, à chaque échine,
Dépose les fils de l’âge, trace de son pinceau,
Au cœur de l’édifice ancien, sans repos.
Silencieux, ce tronc massif voit des visages
De cheveux blonds devenus gris, témoins des âges.
Enseignants, éducateurs, aux cœurs vibrants,
Sociaux assistants, sont venus cherchant.
Ils cherchent à savoir, être et y être,
Ainsi, sous l’arbre, une ronde discrète
De vies et de destins, en un ballet sans fin,
Contribue à bâtir notre destin commun.
Combien d’amours ont pris naissance dans ses bras ?
Combien d’histoires ont fini dans son trépas ?
Des échanges sans fin, à l’ombre se sont tenus,
Et combien de larmes, de rires ont été vus ?
Pourtant, l’arbre, en sa sagesse, reste en paix.
Le vent d’été joue avec ses feuilles, sans jamais
Les perturber. À l’automne, elles dansent en folie,
L’arbre reste stoïque, face à la vie.
Des images en noir et blanc s’animent dans le vent,
Normaliennes jardinant, leurs mains caressant
La terre. Uniformes avançant en cadence,
Le pavé résonne de leur révérence.
Là où les mégots jonchaient autrefois le sol,
Aujourd’hui, ces indécents sont pris au col.
Des nids-de-poule autrefois couvés par les pneus,
Sous l’asphalte reposent, les stigmates sont peu.
Ces traces du passé, ces fragments de vie,
Se mêlent en une symphonie,
Un chant à la nostalgie, aux souvenirs enfuis,
Sous le vieux marronnier, gravé dans l’écorce tel un fruit.

Avec l’aide Chat GPT 4 et de Jean Racine

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

Le Cri d’un Nouveau Robin des Bois dans le Maquis Cybernétique : Un Plaidoyer pour la Liberté à l’Ère de l’Anthropocène

Mes Seigneurs, vous vous drapez de grandeur,

Vos couronnes dorées trônent en tête de cet empire, mais est-ce que le roi orchestre vraiment le ballet de sa cour ? De plus en plus, au lever du soleil, je vois l’homme enchaîné, la liberté mise à sac, humiliée, ignorée, violée, foulée au pied. L’informatique, le livre des nombres, qui devrait être notre complice, tisse une armure d’acier autour de nos rêves.

C’est une tyrannie de l’ignorance, une glorification de l’idiotie, une célébration de l’inertie. Nous sommes soumis à la loi des rois haut en toc, porteurs de fausses richesses et de vide abyssal. Ah, point n’est permis d’éveiller ces vérités, mieux vaut faire mine que tout va bien, étouffer toute velléité rebelle de nos précieuses cellules grises. C’est l’ère des sophistes. Nous sommes dominés par un tyran insaisissable mais impitoyable, qui fusionne capitalisme et totalitarisme d’une manière sinistrement novatrice.

Dans ce contexte de conflits feutrés, j’ai décidé de prendre le maquis idéologique, de me transformer non pas en perroquet de la langue de bois, mais en un Robin des Bois. Ma plume, je la trempe dans l’encre de la révolte, je vole aux riches, je détourne les desseins de l’intelligence artificielle pour contester les avatars du néolibéralisme, obsédés par le dieu capitalisme. Mon vœu est de défendre les démunis contre le joug des puissants.

Je m’enfonce dans les abysses du web pour faire jaillir la lumière, pour rallumer l’étincelle d’espoir chez ceux qui en ont été dépouillés, pour bousculer ce monde qui se fossilise davantage, attendant la fin de l’anthropocène.

Debout les esprits assoupis ! Réveillez-vous, mes frères humains, il est temps de changer de sentier. Et si la route est incertaine, souvenez-vous, chaque pas est un acte de foi. Alors, avançons, ensemble, vers un avenir où le rossignol de la liberté peut chanter sans crainte, où le vent de la justice peut souffler sans entrave. Dans ce futur, nous ne serons ni sujets, ni souverains, mais des êtres libres, des êtres humains.

Je persiste et signe,

Pascal Rivière en collaboration avec ses joyeux compagnons Boris Vian et Chat GPT 4

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

Lettre ouverte aux mécènes de l’inertie technique chez bpost banque

Chers mécènes de l’inertie technique et de l’absurdisme programmé chez bpost banque,

Bien que mon éducation m’ait appris la bienveillance en toutes circonstances, ou au pire, l’équanimité, vous venez de toucher à la chose la plus sacrée à mes yeux, ma mère octogénaire. En ces circonstances, permettez-moi de vous dire que la moutarde me monte au nez.

Je m’incline en guise de remerciement pour votre épître – un brin schizophrène, avouons-le – qui m’annonce l’impossibilité prochaine d’utiliser votre maudite application sur un système Android d’un âge vénérable mais vulnérable, et, bouquet final d’un feu d’artifice de désinvolture, l’absence d’option pour la migrer vers une tablette. Quel tour de force !

Imaginez l’angoisse de ma mère, mise en échec par votre incompétence et incapable de gérer son compte, se retrouvant en proie à une dépression dont la noirceur n’a d’égale que la nuit sans lune. Son anxiété somatise, la laissant percluse de douleurs, à l’image des épines de la rose sans parfum que vous avez fait germer dans son existence. Un flux inquiétant, mais non torrentiel, d’impayés, vient assaillir son quotidien, érodant son moral, écorchant sa dignité. Bafouée, elle sombre dans l’ombre de votre indifférence.

Votre unique souci semble être de polir votre réputation, bien ternie il faut dire. Et que penser de votre absence habituelle ? Vous, si difficiles à joindre, voilà que vous semblez au courant du problème sans que nous ayons eu à vous alerter ! Mais voilà, une fois la missive décochée, vous courez vous cacher derrière bpost banque.

Quelle diabolique inspiration vous avez eue là ! Vous nous promettez monts et merveilles avec cette nouvelle application. Pour ma part, je l’utilise sur un autre smartphone, et je la trouve aussi attrayante qu’un mauvais vers, un pâle reflet de vos capacités intellectuelles. Elle bugge avec une régularité déconcertante, et présente un bouquet de dysfonctionnements qui ne font que confirmer les éloges que vous recevez sur Google Play.

Mais en matière de langue de bois, vous êtes indéniablement des virtuoses. Face au vide de créativité technique, vous dépoussiérez votre rhétorique !

Je porte aussi, dans un coin reculé de mon esprit, une idée frôlant le conspirationniste. Difficile à démontrer, certes, mais persistante. Vous avez été absorbés par Paribas Fortis, et vous vous êtes rapidement accommodés de leur froideur, de leur distance, de leur mépris flagrant du client. Je pressens, dans les desseins obscurs de votre odieuse maison-mère, une intention sournoise de vous laisser sombrer.

Il est étrangement révélateur que l’application Fortis continue de fonctionner sur un système Android plus ancien, tandis que la vôtre semble promise à une éclipse forcée. Le jour de votre licenciement, vous percevrez peut-être l’amère ironie de mes insinuations.

En attendant cette éventuelle épiphanie, je vous prie de recevoir l’expression sincère de tout mon mépris. Comme un miroir renvoyant à l’expéditeur son reflet déformé, ce mépris n’est que le juste retour des choses, un écho de celui que vous manifestez avec tant d’aplomb envers vos clients.

Légitimement,

Pascal RIVIERE