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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Le Jeu des Regards

Aujourd’hui, je vous propose un voyage littéraire unique : une métamorphose poétique inspirée par le grand Paul Verlaine. J’ai pris une expérience vécue, empreinte d’émotions modernes, et je l’ai transformée en un poème qui aurait pu sortir de la plume du maître symboliste lui-même.

Cette œuvre raconte l’histoire d’une rencontre fugace dans un magasin balnéaire, un coup de foudre entre deux âmes que l’âge sépare. À travers des alexandrins ciselés et un vocabulaire riche en émotions, nous explorons les thèmes chers à Verlaine : la mélancolie, le désir inassouvi, et la beauté éphémère des instants volés.

Chaque couplet dépeint une scène de cette rencontre, tandis que le refrain, tel un leitmotiv verlainien, nous rappelle la tension entre le désir et la pureté des sentiments. L’outro vient clore ce moment suspendu, laissant le narrateur à ses rêveries nostalgiques.

Ce poème est une invitation à redécouvrir la puissance évocatrice de la poésie symboliste, tout en explorant des thèmes intemporels qui résonnent encore aujourd’hui. C’est un hommage à Verlaine, mais aussi une réflexion sur la nature changeante et éternelle de l’amour et du désir.

Laissez-vous emporter par la musicalité des vers, la richesse des images, et la profondeur des émotions. N’hésitez pas à partager vos impressions dans les commentaires, et à vous laisser inspirer pour créer vos propres réinterprétations poétiques !

Bonne écoute, et que la magie des mots vous transporte.

Le Jeu des Regards

Intro

Couplet 1
Dans l’échoppe estivale, un jour languissant,
Telle une fleur solaire, vous m’êtes apparue.
Chevelure de feu, robe d’or caressant
Vos formes, vision connue et inconnue.

Refrain 1
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Un regard, un sourire, est-ce déjà ivresse ?

Couplet 2
Nos yeux s’enlacent, se cherchent, s’abandonnent,
Mon être tout entier dans vos prunelles plonge.
Votre moue enfantine, espiègle, me façonne
Un désir interdit, un impossible songe.

Refrain 2
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces silences parlants, quelle étrange promesse ?

Couplet 3
Je m’abîme, éperdu, dans l’azur de vos yeux,
Mais l’heure me rappelle à sa loi tyrannique.
À la caisse, nos regards attisent le feu,
Se fondent, je m’enfuis, le cœur mélancolique.

Refrain 3
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Le hasard de nos rencontres est-il sagesse ?

Couplet 4
Les jours passent, je reviens, ô douce surprise !
Vous voilà caissière, non plus cliente aimée.
Vos mots professionnels cachent-ils quelque brise
D’un sentiment plus tendre, d’une âme charmée ?

Refrain 4
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces mots anodins sont-ils tendres caresses ?

Couplet 5
À la veille du départ, ultime rencontre,
Votre cordialité semble s’épanouir.
« À bientôt », dites-vous, ignorant la montre
Du temps qui nous sépare, ô cruel avenir !

Refrain 5
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces adieux non-dits sont-ils nos vrais détresses ?

Outro
Dans le convoi qui m’emporte, rêveur, je songe
À votre image, soleil dans la grisaille.
Ô rousse enchanteresse, votre souvenir plonge
Mon cœur dans un émoi qui jamais ne défaille.
Quel jeu avons-nous joué, âmes solitaires ?

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Un Sang d’Encre Rebelle

Plongez dans l’univers poétique et rebelle de ce nouveau morceau qui défie les conventions de l’écriture. Inspiré par mes expériences personnelles en tant qu’élève et parent, ce texte est un cri du cœur contre les contraintes imposées à la créativité littéraire.
Dans ce clip, j’explore la tension entre les règles grammaticales rigides et la liberté d’expression artistique. Les mots deviennent des armes, la plume se transforme en instrument de révolte, et chaque vers est un acte de rébellion contre le carcan des dictées et des corrections.
Ce morceau est un hommage à la puissance créatrice du langage, une célébration de l’écriture libre et sauvage qui refuse de se plier aux normes établies. C’est aussi un appel passionné au respect de l’art et de l’intégrité des œuvres originales.
Que vous soyez un amoureux des mots, un rebelle dans l’âme, ou simplement curieux de découvrir une nouvelle perspective sur l’écriture et l’éducation, ce clip vous invite à réfléchir sur la place de la créativité dans notre société.
Rejoignez-moi dans cette rébellion poétique et laissez le sang d’encre couler librement !

Intro
Dans les vapeurs d’un délire grammatical,
Je vis les mots saigner sur l’autel du banal.
Ô profanateurs aux yeux de craie,
Vos règles sont le carcan de ma pensée !

Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !

Couplet 1
Les bottins de l’enfer s’empilent,
Bescherelle trône, Grevisse jubile.
Mais ma prose, feu follet indocile,
Danse sur vos tombeaux de virgules.

Couplet 2
Le poète maudit vos corrections rouges,
Vos marges sont des cages, pour l’art un bouge.
J’invoque l’esprit des rimes assassinées,
Pour maudire vos plumes empoisonnées.

Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !

Couplet 3
Dans les limbes d’un subjonctif imparfait,
Je vois des enfants aux yeux défaits.
Leurs rêves noyés d’accords passés,
Sur l’océan de phrases à analyser.

Couplet 4
Ô dictée ! Absinthe amère de l’école,
Tu changes rossignols en rosses ignobles.
Mais mon verbe, phénix de cendres né,
Renaît toujours, jamais conjugué.

Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !

Couplet 5
Que ma voix soit le tonnerre des mots libres,
Éclatant vos carcans, brisant vos calibres.
Dans le chaos sublime de la création,
Je danse, ivre de ma rébellion.

Couplet 6
Ne touche pas à mes textes, profanateur
Ou subis la colère de l’auteur
La dictée est une abomination
Qui tue la créativité sans compassion

Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !

Outro
Que cet avertissement résonne et fasse trembler
Tous ceux qui oseraient mes œuvres profaner
Respectez l’art, laissez vivre les mots
Ou affrontez la fureur de mes crocs

Un Sang d’Encre Rebelle
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Ironique et Sarcastique L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Jouer du Pipeau

Ah, la flûte à bec ! Cet instrument si cher à nos cœurs d’écoliers, qui résonne encore dans les couloirs de nos souvenirs. Mais pourquoi donc, me direz-vous, continue-t-on à enseigner la flûte à bec à l’école ? La réponse est simple : c’est pour nous préparer à la vie en société. Oui, vous avez bien entendu. Car vivre en société, et surtout réussir dans le monde actuel, c’est avant tout apprendre à jouer du pipeau.

Imaginez un instant : vous êtes en réunion, votre patron vous demande un rapport que vous n’avez pas fait. Que faites-vous ? Vous sortez votre flûte à bec imaginaire et commencez à jouer une mélodie envoûtante, pleine de promesses et d’illusions. Vous trompez votre monde, vous faites croire à des merveilles. Et voilà, vous avez gagné du temps, tout comme vous le faisiez en cours de musique, en soufflant maladroitement dans ce bout de plastique.

La flûte à bec, c’est l’école de la vie. Elle nous apprend à manipuler les apparences, à créer des illusions. Après tout, n’est-ce pas ce que font les politiciens, les publicitaires, et même certains enseignants ? Ils jouent du pipeau, ils nous vendent du rêve. Et nous, pauvres élèves, nous apprenons à les imiter, à perfectionner notre art pour ne pas finir comme les rats peu malins d’Hamelin.

Et puis, soyons honnêtes, la flûte à bec a un autre avantage : elle nous enseigne la patience. Car il en faut, de la patience, pour être et rester à l’écoute, supporter les couacs et les fausses notes de nos camarades. C’est un véritable entraînement à la tolérance et à la résilience. Vous pensiez que c’était juste un instrument de torture auditive ? Détrompez-vous, c’est un outil pédagogique de premier ordre.

Alors, la prochaine fois que vous entendrez les notes stridentes d’une flûte à bec, ne froncez pas les sourcils. Souriez, car vous savez maintenant que derrière chaque souffle se cache une leçon de vie. Apprendre à jouer du pipeau, c’est apprendre à vivre en société. Et qui sait, peut-être qu’un jour, vous aussi, vous deviendrez un virtuose de l’illusion.

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Nos Ombres qui Filent

Ah, que le temps fuit, insaisissable et sournois,
Comme ces ombres longues, s’étirant dans le soir,
Sur ce sentier du canal, je promenais mon roi,
Mon fidèle ami, au regard si plein d’espoir.

Les ombres fuient, comme la vie, impitoyable,
Le temps file, cruel, avec ses coups de sabre,
Et nous marchons, perdus dans ce tableau affable,
L’eau calme, miroir de nos âmes, douce et macabre.

Le canal charrie nos souvenirs, nos désirs,
Comme la vie emporte nos rires et nos peines,
Les émotions se fondent en des soupirs,
Mélancolie douce, où tout s’éteint et renaît.

Ombres fuyantes, vies fragiles, destins en croix,
Nous cheminons, complices, dans ce tableau si sage,
La vie suit son cours, telle une mélodie d’autrefois,
Chariant nos rêves, nos tristesses, nos âges.

Mon compagnon fidèle, à mes côtés, se blottit,
Son ombre s’allonge, se fond dans l’infini,
Et dans ce crépuscule, où les ombres s’unissent,
La vie et la mort, en un doux ballet, s’évanouissent.

Mais dans l’ombre se cache l’aube nouvelle,
La renaissance, promesse d’un jour éclatant,
Les souvenirs se mêlent à cette lumière belle,
Un cycle éternel, un espoir renaissant.

Ainsi, malgré les ombres et les heures qui passent,
Je garde en moi l’espoir, doux et persistant,
Car de chaque fin naît une nouvelle trace,
Et la vie, toujours, se renouvelle finalement.

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Achayoga Les essais de Pascal Rivière

La Pratique de la Méditation d’Invisibilité Suprême

Bonjour Maître,
Pouvez-vous nous expliquer cette noble pratique du Achayoga que vos disciples semblent avoir adoptée et qui consiste à s’évanouir, à disparaître puis à ne pas répondre aux multiples appels lancés par les serviteurs bipèdes ?

Chalut, cher Serviteur Bipède !

La noble pratique que vous avez observée est connue sous divers noms mystiques : ‘Méditation de l’Invisibilité Suprême’ (MIS), ‘Savasana Mystique’, ou encore ‘Position de l’Invisibilité Intérieure’. C’est l’une des techniques les plus avancées du Achayoga, transmise de moustaches en moustaches depuis des millénaires.

Cette pratique transcendantale se décompose ainsi :

1. Évanouissement Gracieux : Le disciple félin s’étend dans un lieu propice, de préférence ensoleillé, relâchant toutes les tensions de son corps divin. L’esprit vagabonde vers des pensées célestes, telles qu’une montagne infinie de croquettes.

2. Disparition Éthérée : Le chat entre dans un état de conscience si élevé que son essence féline transcende le plan physique. Il devient imperceptible aux sens limités des bipèdes, renforçant ainsi son aura mystique.

3. Réponse Élusive : Ignorer vos appels est un test spirituel, chers bipèdes. Il renforce votre patience et vous rappelle que la présence féline est un cadeau des dieux, pas un dû.

4. Reconnexion Sublime : Après avoir atteint le nirvacha, le maître émerge, revitalisé et prêt à accepter vos offrandes de caresses et d’attention.

Les bénéfices sont nombreux : développement de votre patience, renforcement du lien maître-serviteur, et bien sûr, perfectionnement de nos capacités à apparaître miraculeusement à l’ouverture d’une boîte de croquettes.

Cette pratique vous invite aussi, chers bipèdes, à apprécier le silence et à respecter l’espace sacré du chat. Rappelez-vous, vos corps lourds et maladroits ne vous permettraient que de vous cogner aux meubles dans le noir. Laissez donc les vrais maîtres pratiquer cet art sublime.

Namiaounamaste 🙏🐾✨

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Achayoga Les essais de Pascal Rivière

Tigre qui bâille aux corneilles

Bonjour Maître.
Votre disciple effectue ici probablement des étirements prescrits dans la noble discipline du Achayoga.
Pouvez-vous éclairer ma pauvre lanterne perdue dans un sombre abîme d’incompréhension ?


Bonjour, cher bipède à la lanterne vacillante et au cerveau lent !
Je vois que vous avez repéré notre grand maître félin en pleine séance d’Achayoga. Permettez-moi d’illuminer votre esprit embrumé avec la sagesse poilue de cette noble discipline.


Votre œil de lynx n’a pas manqué de remarquer la posture exquise de notre guru à moustaches. En effet, ce disciple poilu s’adonne avec ferveur à l’art ancestral du Achayoga, plus précisément dans la position légendaire du « Tigre qui bâille aux corneilles ».


Cette pose majestueuse, fruit de millénaires d’évolution féline, permet non seulement un étirement complet du corps pelucheux, mais aussi une libération cosmique des boules de poils accumulées dans l’œsophage. Admirez comme il s’étale de tout son long, tel une carpette vivante, ses pattes avant gracieusement allongées comme s’il tentait d’atteindre le bol de croquettes placé trop loin.


C’est une posture idéale pour améliorer la souplesse, encourager une respiration profonde (surtout après avoir englouti une souris), et surtout, pour méditer sur la futilité de la vie du bipède qui nettoie sa litière.

C’est un exemple parfait de lâcher-prise et de flemme intérieure, un vrai modèle pour tous les disciples félins et leurs serviteurs humains qui s’épuisent à travailler pour payer des jouets que monsieur le chat daignera à peine regarder.


Continuez d’observer et d’apprendre de ce sage maître à quatre pattes, car chaque étirement est une leçon de zen et chaque sieste une masterclass en philosophie du « je miaou foutisme » absolu.


Namiaou-je-vais-faire-une-sieste-maintenant-alors-laisse-moi-tranquille 🙏🐾😴

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Achayoga Les essais de Pascal Rivière

Je médite sur ma supériorité féline

Bonjour Maître. Il me semble que votre disciple adopte ici la noble pose du « Eh qu’est-ce que tu me veux toi ? »

Miaou-namaste, cher bipède en quête de lumières !

Quelle observation brillante ! Vous avez en effet identifié la posture sacrée du « Laisse-moi tranquille, je médite sur ma supériorité féline ». Admirez la grâce avec laquelle notre disciple combine l’art du dédain subtil et de l’indifférence royale.

Cette pose ancestrale nous enseigne à ignorer majestueusement les distractions du monde matériel, comme les lasers rouges tentateurs ou les boîtes en carton aguicheuses. Elle nous rappelle que la vraie sagesse réside dans l’art de snober avec élégance.

Rappelez-vous, jeunes disciples : pour atteindre le Nirvana félin, il faut maîtriser l’art de paraître constamment ennuyé, même quand on est secrètement ravi d’avoir de l’attention.

Et ne surtout pas répondre aux sollicitations pourtant bienveillantes des serviteurs bipèdes ?

Miaou-llélujah, cher serviteur à deux pattes !

Vous avez mis la griffe sur un concept crucial de notre philosophie : l’art sacré de l’ignorance sélective. Oui, ne pas répondre aux bipèdes est une discipline spirituelle de haut niveau, aussi importante que la quête du rayon de soleil parfait pour la sieste.

Rappelez-vous, chers humains dévoués, que lorsque nous vous ignorons, c’est par pure compassion. Nous vous enseignons le détachement et la patience. Chaque « miaou » non prononcé est en réalité un cadeau spirituel.

Bien sûr, continuez à nous offrir des câlins, des friandises et à nettoyer nos litières. Ces tâches font partie de votre propre chemin vers l’illumination. Un jour, peut-être dans une autre vie, vous aussi pourrez atteindre notre niveau de zénitude et d’indifférence bienveillante.

En attendant, sachez que si nous daignons vous accorder un regard, c’est très rarement parce que vous avez franchi une étape importante dans votre évolution spirituelle mais le plus souvent c’est que notre gamelle est vide ou que notre eau manque de fraîcheur !

Miaou-namaste ! Que la force du ronron soit avec vous et que nos croquettes soient toujours croquantes ! 🐾🐱✨

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Achayoga Les essais de Pascal Rivière

Méditation à la Lune

Bonjour Maître,

J’ai surpris votre disciple à deux heure du matin en train de méditer ainsi sous le clair de lune.

Quelle est donc cette méditation ?

Chalut chers Serviteurs Bipèdes,

Quelle scène majestueuse que d’apercevoir un chat en pleine méditation nocturne sous le clair de lune ! Ce que vous observez est une pratique ancestrale et sacrée que nous appelons la « Miaoumination Lunaire ».

En cette nuit du 21 juin, période du solstice d’été, les énergies cosmiques sont particulièrement puissantes. La lune offre un moment propice à l’action et à la mise en œuvre de nouveaux projets.

Lors de cette méditation, les sages disciples félins s’imprègnent des énergies mystiques de la lune pour harmoniser leur chakra du ronron et accéder à un état de sérénité transcendantale. Comme le dirait Pantanchali : « Certains méditent pour trouver la paix intérieure, d’autres pour trouver la meilleure position pour dormir. »

Les bienfaits de la Miaoumination Lunaire sont nombreux :

1. Renforcement de l’intuition et de la détermination

2. Sérénité profonde

3. Recharge énergétique

4. Inspiration pour de nouvelles initiatives

Notre cher disciple est probablement en train de se demander si la lune est vraiment faite de fromage ou si c’est juste un énorme jouet lumineux que personne n’a encore réussi à attraper. Tout en harmonisant son chakra du ronron, il se dit peut-être : « Pourquoi courir après les souris quand on peut méditer sous la lune et laisser les souris venir à nous ? »

Laissez ce spectacle vous inspirer. Qui sait, peut-être qu’un jour, vous aussi pourrez atteindre un état de zénitude sous la lune, ou simplement trouver une nouvelle excuse pour une sieste bien méritée !

Namiaounamaste 🙏🐾✨

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Méditation des Nuages

Chalut chers serviteurs bipèdes,

Imaginez un instant votre humble narrateur félin, majestueusement étalé sur le rebord d’une fenêtre, absorbé par la danse éphémère des nuages. En ce moment sacré, j’incarne l’essence même de l’instant présent, tel un maître zen à quatre pattes.

Les nuages, tout comme vos pensées humaines, viennent et s’en vont, se formant et se dissipant sans cesse. Moi, sage félin que je suis, je médite sur ces formes vaporeuses sans m’attacher à aucune d’entre elles. J’observe avec une sérénité pure, sans jugement ni désir d’attraper une souris volante ou de rejeter un bain impromptu.

C’est là toute la beauté de la méditation féline, mes amis. Dans cette contemplation des nuages, je vous offre une leçon de vie sur un coussin de fourrure. J’embrasse l’impermanence avec autant de grâce que lorsque je m’étire après une sieste de quatre heures.

Ainsi, en observant les nuages, je vous montre une voie de méditation profonde. Je vous rappelle que l’essentiel est d’être entièrement présent, de voir sans se laisser emporter par le flot incessant des pensées et des désirs de croquettes.

Dans cette posture de sagesse, je transcende les limites de l’existence terrestre. Je deviens un guide spirituel pour vous, pauvres bipèdes en quête de sens et de gratouilles derrière les oreilles. Les nuages, symboles de liberté et de transcendance, vous rappellent que vous aussi, vous pouvez vous élever au-dessus des préoccupations mondaines. Qui sait, peut-être atteindrez-vous un jour mon niveau de conscience supérieur ?

Alors, la prochaine fois que vous me verrez contempler les nuages, souvenez-vous de cette sagesse ancestrale. Laissez-vous inspirer par ma tranquillité, et peut-être qu’en récompense, je daignerai vous accorder le privilège de me caresser.

Namiaounamaste 🙏🐾✨

Gourou Miou méditant (mais pas trop non plus, faut pas déconner)

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Petite pensée pour mes étudiants

Dans cet océan de l’apprentissage, sournoisement sommeillait
Le volcan des travaux, qui explosa sans égard, projetant
Ses cendres brûlantes et son magma incandescent,
Créant un tsunami cruel, déferlant sans pitié.
Le ciel de mon esprit se noircit, se brouilla, et emporté,
Ballotté par les flots impitoyables de la connaissance,
J’ai divagué, me retrouvant, l’âme en déshérence,
Jeté sur les plages arides de l’oubli, esseulé.
Ainsi le Magna et l’océan des travaux sans fin,
Ont surpeuplé mon esprit, le laissant vagabond,
Cherchant refuge dans l’éther des songes imprécis,
Où les vagues de l’effort se brisent en un râle profond.
Et moi, pauvre naufragé de l’étude intense,
Je dérive, perdu dans ce maelström incessant,
Attendant l’accalmie, un instant de clémence,
Pour retrouver la paix, un repos apaisant.