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Du zéro à l'infini (Textes revus) L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Communion Sauvage

Intro
Biniou Bombarde

Couplet 1
Rochers, vagues, nuages – trinité primordiale
La Belle Breizh frémit sous le souffle de l’infini
Soleil, sable, écume – alchimie estivale
La mer pulse, haletante, dans son écrin de midi

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Couplet 2
Énergie débridée, fureur des éléments
Nudité crue du monde, sans voile ni pudeur
Cruauté dévoilée, beauté des tourments
L’univers se dénude dans sa brute splendeur

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Pont
Mon corps s’offre à l’appel des flots tumultueux
Je plonge, ivre d’azur, dans l’étreinte marine
Caressant le dos lisse des rouleaux fastueux
Goûtant l’écume amère sur ma langue saline

Couplet 3
Emporté, ballotté par le rythme des eaux
Je me laisse bercer par leur danse éternelle
Tourbillon extatique, ivresse sans repos
Jusqu’à l’épuisement de ma chair mortelle

Refrain
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Couplet 4
Enfin, rejeté sur le rivage doré
Épuisé mais comblé, l’âme encore vibrante
Je m’étends, pantelant, sur le sable nacré
Uni à l’univers en sa beauté violente

Refrain final
Ô côte sauvage, amante farouche
Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche
Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve
Cruauté sublime où mon âme se retrouve

Fin

Bruit des vagues

Communion Sauvage

Cette chanson est le résultat d’un poème de jeunesse que j’ai retravaillé. J’ai pensé à Albert Camus et à Noces à Tipasa mais ici la communion et la sensualité se passe avec l’Océan ou la Mer de Bretagne.

Au niveau musical, Manau est passé par ici.

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Du zéro à l'infini (Textes revus) L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière Si j'étais Rimbaud ?

Amour Sidéral

J’ai la soif inextinguible d’une supernova,
Éclatante lactée, qui en ses bras me noie.
Pour étancher ma voie, mystère et foi en moi,
Je cherche l’âme pure, insaisissable éclat.

Le Graal insolvable, tel l’onde qui s’en va,
Dissout dans l’infini, tout comme mon émoi.
J’aspire à l’harmonie, fin d’une quête en soi,
Hermétique et subtile, à l’aube du trépas.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Les étoiles naissent, meurent, et dans leurs ébats,
Je contemple l’absolu, au-delà des lois.
La quête transcendantale, sans roman, sans éclat,
Passe par la geste pure, sans trêve ni débat.

Entre un homme et une femme, par-delà le combat,
Il y a cette eau de vie, où l’âme se déploie.
Par un trait d’union entre l’ô et le choix,
Je commence à être libéré du fracas.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Dans ses yeux, je vois l’univers, vastes firmaments,
Où des constellations dansent en fous mouvements.
Sa peau contre la mienne, fusion de nos éléments,
Chaleur et tendresse en fiévreux enivrements.

Nos âmes entremêlées, telles deux astres errants,
Cherchent l’éternité dans les baisers brûlants.
Dans ses bras, je suis captif, par des liens éclatants,
Rêvant d’une union infinie, aux désirs dévorants.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais partenaires.

Elle est mon oasis, ma source d’apaisement,
Dans ce désert aride de doutes et de tourments.
Sa voix, douce mélodie, apaisant mes tourments,
Nous sommes deux étoiles dans un ciel fulgurant.

Et quand la nuit se lève, et que nos corps se fondent,
Je sens en moi l’extase, comme une vague profonde.
Nos souffles se confondent, nos cœurs à l’unisson,
Nous touchons l’absolu, au-delà de la raison.

Et voilà que de notre union naît un Big Bang,
Explosion de rayons gamma, passions qui s’élancent,
Lessivant cette vie de ses tâches et de son rang,
Purifiée aux lèvres de ma tendre aimée, immense.

Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral,
Fusion de nos âmes, amour interstellaire,
Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral,
Éternels amants, à jamais loin de terre.

Ce poème est le résultat d’une reprise et d’un nouveau travail effectué sur un poème de jeunesse.

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Avec Philosophie Les essais de Pascal Rivière

L’Histoire Luit A Travers les Ombres

L’Histoire aujourd’hui se voile de nuages ​​sombres,
L’orage terrestre, annonçant un long hiver,
L’humanité frissonne face à ces ombres,
Qui menacent d’obscurcir notre univers.

Quand le passé s’efface et s’éteint,
Les cœurs errent dans des ténèbres lointaines,
Privés de sens, comme des âmes en peine,
L’avenir devient un chemin incertain.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Aliénés de l’inconscient profond,
Nous perdons notre essence, notre voie,
Dans les filets de la technologie froide,
L’humanité se meurt, se fond.

Le progrès nous déshumanise,
Rendant l’homme un simple artefact,
Sans racines, sans âme, sans tact,,
Nous marchons vers cet abîme qui brise.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Les crises du sens ne font que s’amplifier,
Sans mythes, sans récits pour guider,
Nous cherchons en vain des vérités,
Dans un monde fragmenté, démystifié.

L’ombre collective nous menace,
Les ombres projetées de nos peurs,
Explosent en conflits, en heures,
De destruction, de haine tenace.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Manque de conscience individuelle,
Nous sommes prisonniers de notre inconscience,
Incapables de nous libérer, en toute conscience,
D’une vie mécanique, superficielle.

Si nous oublions le passé, notre lumière,
Nous finirons à l’ombre, emprisonnés,
Dans les cages forgées par nos faits,
Perdus dans les ténèbres, sans repères.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Cherchons dans l’histoire, notre boussole,
Pour éclairer le chemin incertain,
Retrouvons la profondeur humaine, son lien,
Évitons les ombres, les rôles.

Pour que l’humanité retrouve son éclat,
Écoutons les leçons d’autrefois,
Réintégrons l’âme et la foi,
Et marchons ensemble, bras dans, bras.

Mais dans l’ombre, cherchons la lumière,
Dans le passé, trouvons nos repères,
Car l’avenir s’éclaire à la lueur
De la sagesse et de l’ardeur.

Vers un futur où l’ombre recule,
Où l’homme est plus qu’un simple rouage,
Révélons les trésors de notre sage,
Et que la lumière, enfin, circule.

Inspiré par la citation d’Alexis de Tocqueville : « Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres. » Cette citation provient de son œuvre célèbre « De la démocratie en Amérique »

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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Le Jardin Imparfait

Je veux que la mort me trouve plantant mes choux,
Dans le jardin tranquille où fleurissent mes jours,
Sans crainte ni tristesse, de mes doutes absou,
Les pieds dans la terre, sous les cieux clairs toujours.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Que le vent me berce, les saisons m’accompagnent,
Chaque feuille qui tombe me parle de demain,
La nature imparfaite, sous mes mains se dessine,
Comme un doux écho de mon propre destin.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

C’est dans les gestes simples que le bonheur réside,
Dans l’imperfection, la beauté s’exprime,
À l’ombre des choux, la vie trouve un guide,
Le calme et la paix, voilà mon ultime rime.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Plantons nos choux, vivons chaque seconde,
Le jardin imparfait est le cœur de ce monde,
La mort nous trouvera, paisible et féconde,
Dans l’éclat de la vie, où nos âmes se fondent.

Ce texte est évidemment inspiré de Montaigne et largement inspiré de André Comte-Sponville

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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Cherche le Bonheur Comme Il Vient

Au fond de l’âme et du cœur,
Sans chercher d’ailleurs,
Le bonheur trouve sa demeure,
Dans l’instant, sans peur.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Ce n’est pas dans la richesse,
Ni dans les grands succès,
Mais dans la simple tendresse,
Que le bonheur renaît.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

La sagesse d’accepter,
Ce qui ne peut changer,
Et la force de lutter,
Pour ce qui doit évoluer.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Dans l’amour que l’on donne,
Dans la vertu, la raison,
Le vrai bonheur résonne,
Comme une douce chanson.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Cherche le bonheur comme il vient,
Dans la simplicité des jours,
Sans le presser, sans le retenir,
Laisse-le fleurir dans son cours.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Souviens-toi, chaque jour est un cadeau,
Le bonheur n’est jamais trop loin,
Il est là, dans le souffle, le repos,
Dans chaque cœur, il trouve son chemin.

Ce texte est largement inspiré de André Comte-Sponville

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Chemin de Lune

Dans le silence de la nuit, le chemin d’argent s’ourle,
Une lune rousse, sentinelle de l’asphalte, s’éveille et surveille.
Elle frôle de ses rayons les rangs des lumières fidèles,
Des lampadaires, des étoiles veillant sur les sommeils mortels.
Le ciel noir, toile mystérieuse aux teintes d’encre et de charbon,
Accueille la lune, tache rougeoyante dans l’immense salon.
Elle baigne de son éclat orangé notre monde en repos,
Un astre capturé, dans les liens de la nuit, si beau, si haut.
Sous elle, les lumières artificielles, telles des constellations,
Alignées, solennelles, veillent sur nos perpétuelles rotations.
Elles guident les passants, les âmes solitaires en contemplation,
Dans l’écho silencieux de l’existence, leur seule destination.
La lune, témoin éternel des nuits sans fin,
Éclaire les pensées, les rêves et les desseins.
Dans ce paysage surréaliste qu’elle dessine dans l’air,
Elle crée une symphonie lumineuse, un opéra d’éther.
Et là, sous son regard d’onyx et d’ivoire,
La route s’étend, se perd dans le vouloir.
Un chemin lumineux, tenu dans l’étreinte de la nuit,
Où la lune et les lampadaires s’unissent, sans bruit.
Ainsi, dans le voile nocturne, s’écrit la ronde des lumières,
Un ballet surréaliste où chaque scintillement espère.
C’est la poésie de l’obscur, une ode à l’invisible,
Un souffle de vie, dans le silence, indélébile.

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Mille Eclats de Vers

Glissant de ma main
Le poème chuta
Fracassé à terre
Au nez de Voltaire

Explosant en vers
Dévorant les œuvres
Voltaire et Rousseau
Fragmentés en Rimbaud

Mots multipliés
Entrelacés dansants
Vers enroulés
Aux lumières idées

Promeneur perdu
Dans l’Émile égaré
Au carnaval des lettres
Éducation nouvelle

Mots entrechoqués
Orgie verbale folle
Illumine la nuit
De son éclat vorace

Vers en marche résolue
Vers les Lumières absolues
Sortir des abîmes profonds
Briser les chaînes des ténèbres

Combattre l’obscurantisme
Et ses dogmes fanatiques
Réduire en cendres les poncifs
Tabous et interdits restrictifs

Mots libres et affranchis
Des préjugés ennemis
Vers porteurs de clarté
Pour l’humanité éclairée

Poème émancipateur
Des esprits et des cœurs
Ode à la liberté
Et à la vérité

Acte poétique accompli
Qu’on aurait pu croire avorté
Mais le poème a surgi
Triomphant et libéré

Les vers échappés de mes mains
Ont su trouver leur chemin
Illuminant les lendemains
D’un feu ardent et sans fin

Mille Eclats de Vers
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L'art de rentrer dans le lard du sujet La Seyne-Sur-Mer Les essais de Pascal Rivière Rencontres de voyages et de hasards

Le choc des âges

Ce lundi soir, dans la lueur de la grève,
Toi et moi, étrangers aux mêmes rêves,
Moi, pris par mes photos et clichés,
Toi, sur ton smartphone, du monde coupé.

Nos chemins, en collision faussement,
Sous les éclats d’un rire, un moment,
Si cette blonde à la robe longue
Quarante ans de différence n’est point quelconque.

Accompagnée de ses parents en guide,
Ah, que j’aurais aimé un instant vide,
Pour fuir l’amour et la beauté féminine,
Pourquoi faut-il que le destin nous incline ?

Cupidon a raté sa flèche l’audacieux!
Quelques pas, souvenirs douloureux,
Un tourbillon d’éclats de rire éphémère,
Mais dans mon esprit, elle demeure entière.

Quelques secondes, et pourtant infinies,
Cette blonde en robe, souvenir qui luit,
Sur l’écran de ma mémoire en boucle,
Sa silhouette, un doux crépuscule.

Et pourtant, ces séductions légères,
N’étaient probablement qu’inventaire,
De sa part, un simple jeu d’instants,
Tandis que mon cœur battait plus grand.

Je doute fort qu’elle ait ressenti,
Ce que moi, pour elle, j’avais enfoui,
Dans cette rencontre inattendue,
Une nostalgie jamais connue.

La vie, en collisions délicates,
Dessine des rencontres hélas non ébauchées,
Dans le silence des pas qui s’éloignent,
Je garde en moi cette image, lointaine compagne.

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Les Fleurs et la Flamme

Intro

Couplet 1
Sous le ciel nocturne, la mer se meut,
Ses rouleaux doux tournent sans fin.
Les lumières scintillent, je les recueille,
Tentant de saisir l’instant divin.

Couplet 2
Le souffle du vent vient me caresser,
Mes tensions s’envolent doucement.
Sur le mur en bord de grève, assis,
Je savoure ce précieux moment.

Refrain 1
Ô nuit d’été, mer éternelle,
Bercez-moi de vos doux secrets.
La vie ici semble si belle,
Dans ce moment de paix parfait.

Couplet 3
La nuit m’offre son manteau sombre,
Ô mer, notre mer, je veux jouir
De cet instant régressif et harmonieux,
Laisse-moi ce moment savourer.

Couplet 4
Mais en bord de grève, cette nuit venue,
Un défilé de fleurs s’avance vers moi.
Leurs parfums m’enivrent, vue éperdue,
M’attirant dans un subtil émoi.

Refrain 2
Ô nuit d’été, mer enivrante,
Vos secrets commencent à changer.
La vie ici devient troublante,
Des désirs viennent me hanter.

Couplet 5
Les blondes, les brunes et les rousses,
Chacune avec ses atours, sa grâce,
Cette beauté particulière me pousse
À les admirer, sans laisser de trace.

Couplet 6
Mon âge ne permet plus la cueillette,
Mais qu’il est doux de les contempler,
Un bref instant, discret et honnête,
Pour voir la braise en leurs yeux briller.

Refrain 3
Ô nuit d’été, mer de tentation,
Vos secrets m’ont presque envoûté.
La vie ici est une émotion,
Entre sagesse et volupté.

Couplet 7
Et je sens en moi, douce surprise,
Une flamme qui ne s’est pas éteinte,
Ravivée par leur beauté exquise,
Preuve que le temps n’a pas tout feint.

Couplet 8
Calme tes pulsions, senior lubrique,
Reste un esthète épris de beauté,
Ravi par la vie, son esthétique,
Un spectateur de sa diversité.

Refrain 4
Les fleurs et la flamme, un doux mélange
Qui ravive mon cœur en secret
Mais ne suis-je pas en train de jouer
Avec le feu, ces sentiments dérangent.

Couplet 9
La musique des vagues verse en mon âme,
Une mélodie qui berce mes pensées.
J’espère qu’elle m’accompagnera,
Jusqu’au bout de la nuit étoilée.

Outro
Ô nuit d’été, mer apaisante,
Vos secrets m’ont tant appris.
La vie ici reste enivrante,
Dans ce coeur qui n’a pas tari.

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Il s’en est fallu d’un doigt !

Un doigt dans le cadre au moment de prendre la photo qui aurait dû être un souvenir exceptionnel et voilà que j’ai mis le doigt dans l’engrenage de la créativité !

Il s’en est fallu d’un doigt !

Intro
Yo, écoute ça
La vie tient à un fil, ou plutôt à un doigt
Un rien peut tout changer, c’est comme ça
Il s’en est fallu d’un doigt

Couplet 1
Dans la vie, parfois, un doigt fait la différence
Entre le succès et la malchance
Photo ratée, doigt dans le cadre
La perfection s’envole, c’est le désastre

Couplet 2
Réunion importante, costume impeccable
Un doigt dans le nez, et tout devient fable
Les rires fusent, l’image est brisée
Mais au final, c’est la tension qui s’est dissipée

Refrain
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter

Couplet 3
Email crucial, faut être précis
Un doigt glisse, et c’est le souci
Faute de frappe, le message part
Un doigt de travers, et il est trop tard !

Couplet 4
Doigt sur l’interrupteur, la lumière s’éteint
L’ambiance est gâchée, mais c’est pas la fin
Dans le noir, on rit, on se rapproche
La gaffe devient une chance, pas de reproche

Refrain
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter

Couplet 5
Nos doigts maladroits, source de surprises
Transforment le banal en moments de crise
Mais ces petits riens, ces imperfections
Font de nous des humains, pas des fictions

Outro
Alors lève ton doigt, célèbre tes erreurs
Car il s’en faut d’un doigt pour trouver le bonheur
La vie n’est pas parfaite, c’est ce qui la rend belle
Un doigt de travers, et l’aventure est nouvelle

Refrain final
Il s’en est fallu d’un doigt (Hey!)
Pour que tout bascule, crois-moi (Oh là là!)
Un geste, une seconde, tout peut changer
La vie est une farce, faut l’accepter et en profiter!