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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Le Jardin Imparfait

Je veux que la mort me trouve plantant mes choux,
Dans le jardin tranquille où fleurissent mes jours,
Sans crainte ni tristesse, de mes doutes absou,
Les pieds dans la terre, sous les cieux clairs toujours.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Que le vent me berce, les saisons m’accompagnent,
Chaque feuille qui tombe me parle de demain,
La nature imparfaite, sous mes mains se dessine,
Comme un doux écho de mon propre destin.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

C’est dans les gestes simples que le bonheur réside,
Dans l’imperfection, la beauté s’exprime,
À l’ombre des choux, la vie trouve un guide,
Le calme et la paix, voilà mon ultime rime.

Nonchalant de la mort, et plus encore de tout,
De ce jardin imparfait, reflet de nos détours,
Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou,
Savourons l’instant, sans crainte des retours.

Plantons nos choux, vivons chaque seconde,
Le jardin imparfait est le cœur de ce monde,
La mort nous trouvera, paisible et féconde,
Dans l’éclat de la vie, où nos âmes se fondent.

Ce texte est évidemment inspiré de Montaigne et largement inspiré de André Comte-Sponville

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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Cherche le Bonheur Comme Il Vient

Au fond de l’âme et du cœur,
Sans chercher d’ailleurs,
Le bonheur trouve sa demeure,
Dans l’instant, sans peur.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Ce n’est pas dans la richesse,
Ni dans les grands succès,
Mais dans la simple tendresse,
Que le bonheur renaît.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

La sagesse d’accepter,
Ce qui ne peut changer,
Et la force de lutter,
Pour ce qui doit évoluer.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Dans l’amour que l’on donne,
Dans la vertu, la raison,
Le vrai bonheur résonne,
Comme une douce chanson.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Cherche le bonheur comme il vient,
Dans la simplicité des jours,
Sans le presser, sans le retenir,
Laisse-le fleurir dans son cours.

Le bonheur, c’est ici, c’est maintenant,
Dans chaque souffle, chaque instant,
Accepte, aime, sois présent,
Le bonheur, c’est vivre pleinement.

Souviens-toi, chaque jour est un cadeau,
Le bonheur n’est jamais trop loin,
Il est là, dans le souffle, le repos,
Dans chaque cœur, il trouve son chemin.

Ce texte est largement inspiré de André Comte-Sponville

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Avec Philosophie L'art de rentrer dans le lard du sujet Les essais de Pascal Rivière

Le jeu de L’ego

Ah, subtil jeu de l’âme, en Lego construit,
Où l’orgueil de l’autre, gonflé, nous séduit.
Devant nous, un miroir, reflet de nos défauts,
Nos propres vanités, enflées comme il faut.

Quand l’ego de l’autre s’élève, tour immense,
N’est-ce point le reflet de notre propre essence ?
Ce que nous rejetons, souvent, est en nous-même,
Enfoui, dissimulé, mais présent dans l’extrême.

Moi qui m’agite et parle, devrais-je me taire ?
Dans ce jeu de miroirs, l’écho est solitaire.
Nous sommes si petits, sur cette terre, perdus,
Nos limites si vives, par l’orgueil détenus.

Pour compenser, parfois, notre stature mince,
Nous gonflons notre être, mais la vie nous pince.
À la fin, tout s’effondre, et l’on n’est plus qu’ordures,
Ridicule, minuscule, en l’ultime aventure.

Vaut-il donc la peine, monsieur, de pinailler,
Sur l’ego d’autrui, dans ce jeu dévoilé ?
Critiqueur et critiqué, dans la même rengaine,
Sommes-nous, en fin de compte, que poussière humaine?

Ainsi va notre monde, dans ses tours et détours,
Cherchant dans le miroir, la vérité de nos jours.
Dans ce jeu de Lego, où chacun se construit,
Se révèle en silence, le reflet qui instruit.