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Pour la Mémoire de l’Humanité : Un Plaidoyer contre le « Patrimoinicide »

Mesdames et Messieurs,

Je me tiens devant vous aujourd’hui, non pas en tant qu’un individu, mais en tant que porte-parole des ombres silencieuses de notre passé, les voix muettes de notre héritage qui ont été réduites au silence par des actes insensés et irréfléchis de destruction.

Ces témoignages, qui ont traversé le temps comme par miracle, ont été lâchement assassinés sur l’autel de l’intégrisme, du profit ou de l’oubli. Les Bouddhas de Bâmiyân en Afghanistan, le temple de Baalshamin à Palmyre en Syrie, les précieuses manuscrits de la Bibliothèque de Bagdad en Irak, l’antique cité de Nimrud également en Irak, le noble Parthénon en Grèce et même les humbles menhirs d’une époque lointaine en France. Ils portent tous les stigmates de notre négligence.

Les siècles passés n’ont pas été tendres avec le Grand Sphinx de Gizeh en Égypte, rongé par l’érosion et le vandalisme. La Tour de la Victoire en Inde a survécu aux attaques et aux dégradations, symbole de la résilience de l’histoire face à la bêtise humaine. Pourtant, elles sont des preuves vivantes de notre histoire commune, de nos racines culturelles partagées et de notre héritage humain collectif.

Nous ne parlons pas ici de simples pierres et de mortier, de bois et de parchemin, mais de la sagesse et de l’humanité qu’ils incarnent. Ce sont des émissaires du temps, porteurs d’histoires, de connaissances, de vérités et de beautés qui ne demandent qu’à être partagées. Chaque acte de sauvagerie qui efface un vestige de notre histoire est un coup porté à la mémoire collective de l’humanité, une amputation de notre conscience collective, un oubli forcé de ceux qui ne sont plus.

Il est donc impératif, urgent, que des tribunaux internationaux soient créés pour juger ceux qui se rendent coupables de ces actes de vandalisme contre notre mémoire. Ces « raseurs de mémoire », ces « aliénateurs de conscience », ces destructeurs de vestiges doivent être tenus responsables. Nous ne devons pas nous contenter de condamner ces actes, nous devons agir pour les empêcher.

Je vous appelle donc aujourd’hui à vous joindre à moi, à vous lever contre le patrimoinicide. Faisons de la protection de notre patrimoine une priorité. Laissons ces sites endommagés être les dernières cicatrices de cette guerre contre la mémoire. Parce que sans mémoire, sans héritage, que sommes-nous ?

N’oublions pas, et ne laissons pas notre monde oublier, que nous sommes les gardiens de notre passé, les architectes de notre présent, et les bâtisseurs de notre futur. Chaque vestige, chaque monument, chaque livre brûlé, est une partie de nous qui est perdue à jamais. Ce n’est pas seulement un crime contre l’art ou l’histoire. C’est un crime contre l’humanité elle-même.

Et pour ces crimes, il n’y a pas de prescription. L’acte d’effacer notre passé, notre héritage, est un acte qui viole non seulement les lois de l’humanité, mais aussi les lois de la nature. Car en détruisant notre histoire, nous perturbons l’ordre naturel de la transmission de la connaissance, de la sagesse et de l’expérience de génération en génération.

Il est donc impératif que nous agissions. Nous, qui avons la responsabilité de protéger notre patrimoine, devons nous élever contre le patrimoinicide. Nous devons veiller à ce que chaque acte de destruction soit non seulement condamné, mais aussi empêché. Nous devons insister sur le fait que la destruction de notre patrimoine n’est pas seulement un acte de vandalisme, c’est un acte de guerre contre la civilisation elle-même.

Au-delà des appels à la justice, nous devons œuvrer pour la préservation et la protection. Nous devons investir dans la restauration des sites endommagés, dans l’éducation pour instiller une appréciation et une compréhension de l’importance de notre patrimoine. Il est de notre devoir de transmettre à nos enfants un monde riche non seulement en ressources matérielles, mais aussi en ressources culturelles et historiques.

Parce que nous sommes les gardiens de notre passé. Parce que nous sommes les architectes de notre présent. Parce que nous sommes les bâtisseurs de notre futur. Et si nous laissons ces criminels détruire notre passé, alors nous leur permettons de détruire notre futur.

Je vous appelle donc à vous joindre à moi dans cette noble tâche. Ensemble, nous pouvons garantir que chaque édifice, chaque œuvre d’art, chaque livre qui a survécu aux ravages du temps, survivra aussi aux ravages de l’ignorance et de la haine. Ensemble, nous pouvons veiller à ce que notre passé continue à vivre dans notre présent et à illuminer notre futur. Ensemble, nous pouvons faire la différence. Parce qu’ensemble, nous sommes l’humanité.

Grâce à mes idées et à collaboration de ChatGPT, j’ai reveillé la voix d’André Malraux pour ce vibrant plaidoyer

Pascal Rivière

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Mistron Ronron

Le matou est bien dans mon assiette, la tête posée sur la serviette en guise d’oreiller. Il rêve en fin gourmet des plats en train de s’achever. Il sera en première loge quand arrivera le met tant convoité. On reconnaîtra sa patte dans la préparation des viandes, surtout le bœuf et le poulet. Quant au poisson, il n’en veut pas. Sa Majesté n’apprécie pas.
Malgré ce minois si doux et ce ronron charmant, ne nous y trompons pas. Notre Mistron Ronron mijote quelque mauvais coup. À la première occasion, le fripon frappera tel un chafoin pour tenter de se sustenter. C’est vrai que sa bedaine semble indiquer qu’il est sous-alimenté.

« Mistron Ronron » : Une aventure musicale féline née d’une collaboration homme-IA

Mistron ronron

Chers amis mélomanes et amoureux des chats,

Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter cette création musicale qui s’intitule « Mistron Ronron ». Cette chanson est le fruit d’une expérience unique mêlant créativité humaine (le texte ci-dessus) et intelligence artificielle. Je tenais à partager avec vous les coulisses de cette aventure musicale un peu particulière.

La genèse du projet

Tout a commencé par une simple idée : raconter en musique les péripéties d’un chat gourmand et espiègle. J’avais en tête l’image de ce matou rusé, toujours à l’affût d’un bon repas, et je voulais capturer son essence dans une chanson. C’est là que j’ai eu l’idée d’explorer les possibilités offertes par l’IA pour m’aider dans ce processus créatif.

Une collaboration homme-IA

En travaillant avec un assistant IA, j’ai pu affiner mes idées et structurer la chanson. L’IA m’a aidé à organiser mes pensées, à proposer des rimes et à respecter le style jazz be-bop que je souhaitais pour cette composition. Cependant, je tiens à souligner que le résultat final est le fruit d’un va-et-vient constant entre les suggestions de l’IA et mes propres ajustements créatifs.

Le résultat : « Mistron Ronron »

« Mistron Ronron » est une chanson jazz be-bop qui raconte, avec une pointe de sarcasme, les aventures d’un chat nommé Mistron. Les paroles décrivent ses tentatives de chapardage, sa gourmandise insatiable et ses siestes stratégiques, le tout sur un rythme entraînant typique du be-bop.

Le refrain « Mistron Ron Ron, c’est un fripon, un chaffoin qui fait du foin » résume parfaitement l’esprit de la chanson : un mélange d’affection et d’exaspération que tout propriétaire de chat connaît bien.

Une expérience enrichissante

Cette expérience de co-création avec une IA a été très enrichissante. Elle m’a permis d’explorer de nouvelles façons d’aborder le processus d’écriture et de composition. Bien que l’IA ait été d’une grande aide, je tiens à préciser que la touche finale, les ajustements et l’interprétation restent profondément humains.

Écoutez « Mistron Ronron »

Je vous invite à découvrir « Mistron Ronron » sur ma chaîne YouTube [insérer le lien ici]. J’espère que cette chanson vous fera sourire et peut-être même reconnaître un peu de votre propre chat dans les aventures de Mistron !

N’hésitez pas à me faire part de vos impressions dans les commentaires. Votre retour est précieux et m’aidera à continuer à explorer de nouvelles voies créatives.

Merci de votre soutien continu, et longue vie à Mistron Ronron !

L’Oreille du Psy

P.S. : Si vous êtes curieux d’en savoir plus sur le processus de création assistée par IA, je serais ravi d’en discuter plus en détail. N’hésitez pas à me poser vos questions !

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Mon « je » d’enfant

C’était le temps des genoux cagneux, des cheveux crasseux,
Des échappées effrénées dans le jardin en fleur,
De l’escalade des arbres à fruits, défis audacieux,
Des explorations de la remise, un univers sans heur,
Et de l’envol libre sur la balançoire,
Dans la soupe, l’herbe coupée se mêlait à l’eau, dans une cafetière recyclée, étrange histoire.
Sur l’écran noir et blanc, se dessinaient les jeux sans frontières,
Des « Francophonissimes », des « Visa pour le Monde » et des « Jardins Extraordinaires »,
C’était le temps des Yéyés, de Johnny, de Henri Salvador, des Charlots,
De Polnareff, de RTL et RMC, des « Indiens partout » de Carlos, des « Quand on est musiciens » des Sunlights chanté devant la classe peigne et papier de soie à la main.
Les Beatles s’agitaient à la télé, mais la radio, elle, chantait le plus souvent en français.
Des Arsène Lupin, malins et vaillants,
Des « Amicalement vôtres », rebondissants,
Des grimaces de de Funès, dans leurs éclats joyeux,
Des rires de Bourvil, des empoignades animées,
De Peppone et Don Camillo, dans leurs joutes trépidantes et enflammées.
C’était le temps où je dévorais, relisais,
Les albums de Spirou, de Tintin, un trésor sans fin,
Dans un monde de papiers, discrètement, je m’évadais.
Les vacances en Provence, chez la vaillante tante Iris,
Imprégnées de l’odeur des pins, des effluves du thym, quel délice,
Châteaurenard, sa tour ostensible et ses platanes puissants, son marché aux fruits et légumes vibrants, sa supérette baignée de Jazz, le cadeau Bonux de chez Taton, un trésor flamboyant, sous l’ombre protectrice des canniers, les balades à vélo, un souffle à coeur,
Le bruit doux de l’eau, le chant incessant des cigales, l’accent méridional, si particulier, si enchanteur.
Joli temps d’avant, peu à peu éteint, consumé,
Temps à jamais passé, mais à jamais gravé dans ma mémoire,
Quand revient l’été, avec délice, j’aime à en feuilleter les pages, émerveillé.
Telle est la mélodie de mon « je » d’enfant, entre jeux de mots et jeux de moi. Comme une chanson douce et familière, elle résonne encore en moi, au rythme des saisons qui passent, mais ne s’efface. Cette symphonie d’instants volés à l’enfance où j’aime à me ressourcer, redécouvrir ce « je » d’hier, qui fit ce « je » ici et maintenant, forgé de ces souvenirs précieux, ces éclats de rire, ces parfums d’été. C’est là, dans les pages jaunies de ma mémoire, que se trouve un refuge, un havre de paix, une source intarissable. Là où le temps s’est arrêté, là où chaque instant reste un trésor. Mon « je » d’enfant, ma plus belle histoire.

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Sous le grand arbre

Sous le grand arbre, je prends souvent racine. Autour de ce vieux marronnier, les années défilent, tissant les fils du temps au cœur de l’édifice ancien. Les souvenirs remontent à la surface en douceur, réveillés par les échos d’un passé qui s’est enfui.
Ce tronc imposant, témoin silencieux de la vie qui passe, a vu défiler des enseignants, des éducateurs, des assistants sociaux, des têtes blondes devenues cheveux gris. Tous, en quête de savoir, de savoir-être et de savoir y être, ont formé autour de cet arbre une ronde incessante de vies s’entrecroisant, de destins se nouant et se dénouant. Ensemble, ils ont œuvré à l’édification de notre humanité.
Combien d’amours naissantes ont trouvé refuge sous ses branches ? Combien d’histoires se sont achevées dans le murmure de ses feuilles ? Combien de conversations infinies ont-elles été échangées sous son ombre bienveillante ? Combien de rires et de larmes, d’étreintes chaleureuses et de cris de colère, ont-ils marqué le quotidien à ses pieds ?
Pourtant, l’arbre demeure, impassible. Ce matin d’été, le vent s’amuse dans sa chevelure végétale, faisant danser ses feuilles avec une sérénité apaisante. À l’automne, elles s’adonnent à une ronde effrénée. Stoïque, il résiste aux mutations des us et coutumes qui se métamorphosent au fil du temps.
Les souvenirs reviennent, dansent comme des séquences d’un film en noir et blanc : des normaliennes en train de jardiner, leurs mains caressant la terre avec douceur, des rangs d’uniformes progressant au rythme cadencé de leurs pas sur le pavé.
Il y a eu un temps où le sol était jonché de mégots de cigarettes, souvenirs des moments volés à l’ombre du feuillage pour une bouffée de liberté. Aujourd’hui, ces indécents ont été relégués au loin. Des nids-de-poule étaient autrefois couvés par les pneus, avant que l’asphalte ne vienne protéger la terre des stigmates et que les lignes blanches ne dictent la conduite à suivre.
Ces empreintes du passé, ces fragments de vie, se mêlent en une symphonie visuelle, une ode à la nostalgie. Dans cette partition de souvenirs, chaque note est un éclat du temps passé, un fragment d’histoire qui prend vie sous le vieux marronnier, telle une poésie gravée dans l’écorce du temps.

Arbre oblige, dans le style classique j’ai repris Jean Racine, cela pourrait ressembler à ceci :
Sous le grand arbre, je m’attache et fais racine,
Où le temps, ce vieux marronnier, à chaque échine,
Dépose les fils de l’âge, trace de son pinceau,
Au cœur de l’édifice ancien, sans repos.
Silencieux, ce tronc massif voit des visages
De cheveux blonds devenus gris, témoins des âges.
Enseignants, éducateurs, aux cœurs vibrants,
Sociaux assistants, sont venus cherchant.
Ils cherchent à savoir, être et y être,
Ainsi, sous l’arbre, une ronde discrète
De vies et de destins, en un ballet sans fin,
Contribue à bâtir notre destin commun.
Combien d’amours ont pris naissance dans ses bras ?
Combien d’histoires ont fini dans son trépas ?
Des échanges sans fin, à l’ombre se sont tenus,
Et combien de larmes, de rires ont été vus ?
Pourtant, l’arbre, en sa sagesse, reste en paix.
Le vent d’été joue avec ses feuilles, sans jamais
Les perturber. À l’automne, elles dansent en folie,
L’arbre reste stoïque, face à la vie.
Des images en noir et blanc s’animent dans le vent,
Normaliennes jardinant, leurs mains caressant
La terre. Uniformes avançant en cadence,
Le pavé résonne de leur révérence.
Là où les mégots jonchaient autrefois le sol,
Aujourd’hui, ces indécents sont pris au col.
Des nids-de-poule autrefois couvés par les pneus,
Sous l’asphalte reposent, les stigmates sont peu.
Ces traces du passé, ces fragments de vie,
Se mêlent en une symphonie,
Un chant à la nostalgie, aux souvenirs enfuis,
Sous le vieux marronnier, gravé dans l’écorce tel un fruit.

Avec l’aide Chat GPT 4 et de Jean Racine

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L'art de rentrer dans le lard du sujet Lettres ouvertes pour ne pas fermer ma gueule ...

Le Cri d’un Nouveau Robin des Bois dans le Maquis Cybernétique : Un Plaidoyer pour la Liberté à l’Ère de l’Anthropocène

Mes Seigneurs, vous vous drapez de grandeur,

Vos couronnes dorées trônent en tête de cet empire, mais est-ce que le roi orchestre vraiment le ballet de sa cour ? De plus en plus, au lever du soleil, je vois l’homme enchaîné, la liberté mise à sac, humiliée, ignorée, violée, foulée au pied. L’informatique, le livre des nombres, qui devrait être notre complice, tisse une armure d’acier autour de nos rêves.

C’est une tyrannie de l’ignorance, une glorification de l’idiotie, une célébration de l’inertie. Nous sommes soumis à la loi des rois haut en toc, porteurs de fausses richesses et de vide abyssal. Ah, point n’est permis d’éveiller ces vérités, mieux vaut faire mine que tout va bien, étouffer toute velléité rebelle de nos précieuses cellules grises. C’est l’ère des sophistes. Nous sommes dominés par un tyran insaisissable mais impitoyable, qui fusionne capitalisme et totalitarisme d’une manière sinistrement novatrice.

Dans ce contexte de conflits feutrés, j’ai décidé de prendre le maquis idéologique, de me transformer non pas en perroquet de la langue de bois, mais en un Robin des Bois. Ma plume, je la trempe dans l’encre de la révolte, je vole aux riches, je détourne les desseins de l’intelligence artificielle pour contester les avatars du néolibéralisme, obsédés par le dieu capitalisme. Mon vœu est de défendre les démunis contre le joug des puissants.

Je m’enfonce dans les abysses du web pour faire jaillir la lumière, pour rallumer l’étincelle d’espoir chez ceux qui en ont été dépouillés, pour bousculer ce monde qui se fossilise davantage, attendant la fin de l’anthropocène.

Debout les esprits assoupis ! Réveillez-vous, mes frères humains, il est temps de changer de sentier. Et si la route est incertaine, souvenez-vous, chaque pas est un acte de foi. Alors, avançons, ensemble, vers un avenir où le rossignol de la liberté peut chanter sans crainte, où le vent de la justice peut souffler sans entrave. Dans ce futur, nous ne serons ni sujets, ni souverains, mais des êtres libres, des êtres humains.

Je persiste et signe,

Pascal Rivière en collaboration avec ses joyeux compagnons Boris Vian et Chat GPT 4

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Lettre ouverte aux mécènes de l’inertie technique chez bpost banque

Chers mécènes de l’inertie technique et de l’absurdisme programmé chez bpost banque,

Bien que mon éducation m’ait appris la bienveillance en toutes circonstances, ou au pire, l’équanimité, vous venez de toucher à la chose la plus sacrée à mes yeux, ma mère octogénaire. En ces circonstances, permettez-moi de vous dire que la moutarde me monte au nez.

Je m’incline en guise de remerciement pour votre épître – un brin schizophrène, avouons-le – qui m’annonce l’impossibilité prochaine d’utiliser votre maudite application sur un système Android d’un âge vénérable mais vulnérable, et, bouquet final d’un feu d’artifice de désinvolture, l’absence d’option pour la migrer vers une tablette. Quel tour de force !

Imaginez l’angoisse de ma mère, mise en échec par votre incompétence et incapable de gérer son compte, se retrouvant en proie à une dépression dont la noirceur n’a d’égale que la nuit sans lune. Son anxiété somatise, la laissant percluse de douleurs, à l’image des épines de la rose sans parfum que vous avez fait germer dans son existence. Un flux inquiétant, mais non torrentiel, d’impayés, vient assaillir son quotidien, érodant son moral, écorchant sa dignité. Bafouée, elle sombre dans l’ombre de votre indifférence.

Votre unique souci semble être de polir votre réputation, bien ternie il faut dire. Et que penser de votre absence habituelle ? Vous, si difficiles à joindre, voilà que vous semblez au courant du problème sans que nous ayons eu à vous alerter ! Mais voilà, une fois la missive décochée, vous courez vous cacher derrière bpost banque.

Quelle diabolique inspiration vous avez eue là ! Vous nous promettez monts et merveilles avec cette nouvelle application. Pour ma part, je l’utilise sur un autre smartphone, et je la trouve aussi attrayante qu’un mauvais vers, un pâle reflet de vos capacités intellectuelles. Elle bugge avec une régularité déconcertante, et présente un bouquet de dysfonctionnements qui ne font que confirmer les éloges que vous recevez sur Google Play.

Mais en matière de langue de bois, vous êtes indéniablement des virtuoses. Face au vide de créativité technique, vous dépoussiérez votre rhétorique !

Je porte aussi, dans un coin reculé de mon esprit, une idée frôlant le conspirationniste. Difficile à démontrer, certes, mais persistante. Vous avez été absorbés par Paribas Fortis, et vous vous êtes rapidement accommodés de leur froideur, de leur distance, de leur mépris flagrant du client. Je pressens, dans les desseins obscurs de votre odieuse maison-mère, une intention sournoise de vous laisser sombrer.

Il est étrangement révélateur que l’application Fortis continue de fonctionner sur un système Android plus ancien, tandis que la vôtre semble promise à une éclipse forcée. Le jour de votre licenciement, vous percevrez peut-être l’amère ironie de mes insinuations.

En attendant cette éventuelle épiphanie, je vous prie de recevoir l’expression sincère de tout mon mépris. Comme un miroir renvoyant à l’expéditeur son reflet déformé, ce mépris n’est que le juste retour des choses, un écho de celui que vous manifestez avec tant d’aplomb envers vos clients.

Légitimement,

Pascal RIVIERE

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Je déménage !

Chers lecteurs aussi bienveillants que silencieux,

Aujourd’hui, je suis rempli d’une excitation indescriptible en écrivant ces lignes. Mes pensées ont déménagé d’un blog silencieux et fantomatique vers une nouvelle destination pleine de promesses. Je suis ravi de vous annoncer la métamorphose de mon site !

Ce projet est né d’un moment de douce folie où j’ai ressenti le besoin de repousser les limites de mon expression. J’ai cherché un endroit où mes idées pourraient prendre vie et être partagées avec une communauté plus large. J’ai espéré, peut-être aussi insensément qu’intensément, mais qui ne tente rien n’a rien, n’est-ce pas ?

Ce site est le fruit de ma passion pour l’écriture, la réflexion et l’échange d’idées. J’y partagerai mes pensées les plus profondes, mes réflexions sur le monde qui nous entoure, mes découvertes, mes histoires et bien plus encore. J’espère créer un espace où nous pourrons nous connecter et discuter de sujets qui nous passionnent.

Je vous invite chaleureusement à me rejoindre dans cette nouvelle aventure en vous rendant sur https://aecoute.net . N’hésitez pas à explorer les différents articles, à laisser des commentaires et à partager vos propres réflexions. Votre présence et votre participation enrichiront grandement cette communauté.

Je tiens également à exprimer ma gratitude envers vous, mes lecteurs aussi fidèles et que discrets. Votre soutien mental et vos pensées encourageantes m’ont donné le courage de poursuivre cette passion parfois christique. Sans vous, ce nouveau chapitre ne serait pas possible. Je vous remercie du fond du cœur et j’espère que vous continuerez à me suivre dans cette nouvelle aventure.

Ensemble, nous pouvons faire de ce site un espace d’échange et d’inspiration. Alors, prenons cette chance et faisons naître quelque chose de merveilleux !

Merci encore pour votre soutien continu. J’ai hâte de vous retrouver sur mon nouveau site et de partager de nouvelles histoires avec vous.

Avec gratitude,

Pascal RIVIERE

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L’automate infernal

Contre ce mur à gauche, j’entends résonner les sanglots et les cris,
Du mur droit, les échos de pleurs, les voix de chagrin se multiplient.
La fenêtre grande ouverte, du plus profond jardin, ils rugissent,
Des hurlements et des pleurs, oh les tristes histoires qu’ils décrivent !

Quand cesserons-nous de gravir les marches de l’escalade symétrique ?
Quand mettrons-nous fin à cette assuétude d’adrénaline et de cortisol qui défile ?
Quand la raison du plus faible s’entrelacera-t-elle avec celle du plus fort ?
Quand le souci du fatigué s’harmonisera-t-il avec celui de l’ennuyé, effaçant leurs torts.

Quand l’amour, plutôt que de tendre un fil sur le point de céder, saura-t-il unifier ?
Quand nos esprits s’éveilleront-ils et discerneront-ils la terrible machine tapie dans notre inconscient ?
Les murs pleurent, les jardins hurlent, notre esprit reste endormi,
Dans l’ombre, l’horrible machine veille, elle tient notre vigilance assoupie.

Mais bientôt viendra l’aube, quand nos esprits s’éveilleront et la raison dominera,
Dans un monde où l’amour, plus fort que tout, aura son jour de gloire.
Quand le faible, le fatigué, l’ennuyé, le fort,
En un chœur harmonieux, proclameront ensemble : « À cette mort obscure, nous n’appartenons pas !

Pascal Rivière aidé de Chat GPT 4 et du style de William Shakespeare

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La Vérité ?

La vérité, telle une binocle accrochée au nez,
Se loge à portée, mais l’apercevoir est un secret.
Elle est là, sereine, mais que sert sa présence,
Si l’esprit n’est point ému par son essence.

Nos neurones, indolents, restent sans réaction,
Et la rétine, malgré l’impact, se perd dans l’abstraction.
Le tympan peut trembler, mais en vain il vibre,
Si le cerveau à ses appels reste insensible, libre.

Et même quand la vérité a franchi ce seuil difficile,
Il est impératif de l’accueillir, cette amie subtile.
Comme notre sage Jean, à qui l’on attribue,
De rentrer chez lui, comme en un lieu qui lui est dû.

Pascal Rivière aidé du style de Victor Hugo et de Chat GPT 4

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Cela va de soi !

Voici votre texte avec les corrections d’orthographe, de syntaxe et de ponctuation :

« Rien n’est moins clair que ce qui va de soi !

Cela va de soi ? Non ?

Ce qui est clair, c’est comme le bon sens !

On vous le présente comme un axiome, un truisme !

Quel euphémisme !

Vous rappelez-vous la dernière fois où vous avez croisé « cela va de soi » ?

Moi, il me revient une première qui m’est restée en mémoire.

C’était en salle des profs.

Un importun avait osé entrer sans frapper.

Il s’est fait agonir, conspuer, bannir du lieu sacré où nos éminences grises reposent leurs neurones en devisant sur ces générations incultes !

« Quoi ? Ne pas frapper à la porte avant d’entrer ! Mais quelle ignominie, quelle horreur ! Cela va de soi de frapper à la porte !

Frappez et on vous ouvrira ! Demandez et il vous sera donné !

Le respect, cela va de soi !

Mais curieusement, une espèce d’amnésie semblait frapper ces cerveaux bouillonnants dans cette urne trop pleine. Évaporé, l’épisode précédent où un quidam est resté de longues minutes devant la porte à frapper, frapper en vain, tout en entendant le tumulte au-delà du seuil !

La mémoire courte nous en dit long sur ce qui devrait aller de soi !

La décence, cela va de soi ?

Pourtant, à en croire certains ethnologues, il fut un temps où, chez les Esquimaux, le chef confiait sa femme pour la nuit à son hôte. Signe indéniable d’hospitalité pour les Esquimaux ! Oui, mais pas pour l’Occidental lambda qui voyait là des pratiques de sauvages !

Tout va toujours de soi ?

Croyez-moi, ce qui va de soi, c’est que rien ne va de soi !

Tout est adaptation aux interactions que l’on reçoit quand elles ne sont pas contradictoires.

Mais cela est une autre histoire. »

Pascal Rivière