Au départ de la citation : »Le futur c’était mieux avant », j’ai créé ce texte qui a été mis en forme, en musique et en chanson avec l’aide de l’intelligence artificielle.
Cherche Futur Perdu
Le futur c’était mieux avant, c’est évident, Aujourd’hui, il n’y en a plus, quel beau tourment. Il s’en est allé sans crier gare, disparu, Rendu son tablier à cette humanité perdue.
Trop préoccupée à se mirer, la folle, Dans le miroir du temps, l’âme frivole. Miroir, miroir fixé sur nos murs sociaux, Dites-moi où est la poubelle, drôles d’oiseaux ?
Le futur s’effrite, le présent nous échappe, Dans cette course folle, l’humanité se sape. Miroir du temps, reflet de nos erreurs, Réveillons-nous, changeons nos valeurs.
Elle est dans votre tête et tout autour, La nature n’en peut plus, son cri est sourd. Deux degrés de plus, combien de mètres en plus ? Combien d’êtres vivants en moins, d’argent en plus ?.
Combien de kilomètres de désert en surplus, Combien d’humains déracinés, arbres abattus ? Combien de terres polluées pour des milliards ? Combien d’actionnaires engraissés, sans égards ?
Le futur s’effrite, le présent nous échappe, Dans cette course folle, l’humanité se sape. Miroir du temps, reflet de nos erreurs, Réveillons-nous, changeons nos valeurs.
Combien de petites mains sous-payées, exploitées, Pour des gros requins bien gras et bien protégés ? Après nous le déluge, après nous l’enfer, L’envers du décor, dans ce monde à l’envers.
Combien de temps encore pour l’homo sapiens, Qui n’a de sage que le nom, quel malentendu ! Regarde-toi dans l’univers, ver minuscule, Tremble de ta médiocrité, orgueil ridicule.
Le futur s’effrite, le présent nous échappe, Dans cette course folle, l’humanité se sape. Miroir du temps, reflet de nos erreurs, Réveillons-nous, changeons nos valeurs.
Reviens à toi, saisis l’étincelle divine, Avant qu’elle ne fulmine, que tes erreurs culminent. Avant qu’elle ne te ramène aux erreurs passées, Avant que l’anthroposphère soit à jamais effacée.
Aujourd’hui, je suis ravi de partager avec vous l’évolution fascinante de mon poème « Mon cœur d’archi chaud ». Ce texte, né d’une réflexion profonde sur l’amour et ses tourments, explore les méandres d’un cœur passionné à travers la métaphore d’un artichaut brûlant.
Le poème jongle avec des images culinaires, des références chimiques et des allusions littéraires pour dépeindre la complexité des émotions amoureuses. De la tendance à s’enflammer facilement à la quête d’un amour plus stable, chaque vers tente de capturer l’essence de cette danse du cœur, à la fois enivrante et épuisante.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Ce qui a commencé comme un exercice poétique a pris une nouvelle dimension que je suis excité de vous présenter.
De l’encre à la musique : Une métamorphose
Dans un élan créatif inspiré, j’ai décidé de transformer ce poème en une chanson qui mêle hip-hop et rap. Cette fusion musicale apporte une nouvelle énergie au texte, renforçant son rythme inhérent et sa cadence émotionnelle.
Le flow du rap permet d’accentuer la frénésie des sentiments exprimés, tandis que les beats hip-hop soulignent la pulsation de ce cœur d’archi chaud. Les métaphores culinaires et chimiques prennent une nouvelle dimension dans ce format, créant des jeux de mots et des images sonores saisissantes.
Cette métamorphose musicale offre une nouvelle façon d’aborder le texte, le rendant plus accessible et percutant pour un public plus large. La combinaison du hip-hop et du rap avec la poésie crée un pont entre les genres, démontrant la versatilité et l’universalité des émotions exprimées.
Je vous invite à découvrir cette nouvelle version de « Mon cœur d’archi chaud ». Que vous soyez fan de poésie, de hip-hop, de rap, ou simplement curieux de voir comment les mots peuvent prendre vie de différentes manières, j’espère que cette création vous touchera.
N’hésitez pas à partager vos impressions dans les commentaires. Votre feedback est précieux et m’aide à continuer d’explorer de nouvelles formes d’expression artistique.
Restez à l’écoute pour plus de surprises créatives !
Ô, mon cœur d’archi chaud, que fais-tu ce matin, Quand ton élan joyeux se transforme en festin ? Ô feuilles volages, artichaut libertin, Qui s’offrent à chaque belle qui passe sur mon chemin.
Fumant, brûlant, insaisissable fureur, Tu bats la chamade, guidant mes errances. Tel un alambic de passions, tu distilles mon ardeur, Transformant l’instable en chaleur d’effervescence.
Brunes, blondes, rousses, tout m’enivre et m’éprend, Leurs yeux kaléidoscopes où ma raison se perd. Leurs lèvres, ces creusets pour nos âmes se fondant, M’invitent à goûter l’amour, à leur manière douce-amère.
Quelle est la recette manquée de mon cœur animal, Moi, si tourment, végétal, sensuel ! Tel l’amadou, je m’embrase à chaque signe, Étincelle fugace d’un regard, d’un sourire de miel.
Sans Trenet, mon cœur d’artichaut fait boum, Il éclate en mille morceaux, puis se reforme toujours. Défait et refait, au gré d’un parfum, D’une main qui frôle, d’un murmure de velours.
Mais à la longue, ce ballet de cœur m’épuise, Je prends mes précautions, dresse des barrières. Loin du genre féminin, j’évite la brise, De peur qu’un plan ORSEC ne devienne nécessaire.
Comme un produit hautement inflammable, Je me tiens à l’écart des sentiments explosifs. Mes émotions, réactives, instables, Menacent de consumer mon cœur trop vif.
Ô mon cœur d’archi chaud, pourras-tu un jour Te transformer en foyer stable et durable ? Cesser d’être ce laboratoire fol amour, Pour devenir un havre de paix aimable ?
En attendant, je te déguste feuille à feuille, Comme on déshabille un amour naissant. Langues qui se cherchent, lèvres qui s’effeuillent, Dans ce festin d’émotions incandescent.
Pour ce cœur d’archi chaud, quel sera l’épilogue ? Par quel bout te saisir, quel goût te donner ? Suis-je un gourmet de l’amour ou un pyromane en vogue, Cherchant toujours la flamme, sans jamais m’y brûler ?
Ce cœur d’artichaut, aux mille feuilles tendres, Est-il vraiment mien ou juste un plat que je dresse ? Addiction à l’amour, impossible à comprendre, Je cours après l’ivresse, fuyant la sagesse.
Où est passé ce désir de construire à deux, De partager un chemin, une vie, un avenir ? Perdu dans ce festin d’émotions hasardeux, J’oublie l’essentiel : aimer, plutôt que séduire.
Mon cœur d’archi chaud, brasier de mes tourments, N’es-tu qu’un leurre, une illusion qui me consume ? Je cherche l’amour vrai dans ces embrasements, Mais ne trouve que cendres sous l’épaisse brume.
Il est temps peut-être de tempérer cette flamme, De chercher la chaleur douce d’une passion constante. Apprendre à nourrir une seule et même flamme, Plutôt que de brûler pour chaque passante.
Ainsi, je contemple mon cœur, cet artichaut étrange, Mi-fruit défendu, mi-légume passionné. Saurai-je un jour calmer cette faim qui me démange, Et trouver l’équilibre, enfin rassasié ?
Salut à tous ! Aujourd’hui, j’ai quelque chose de spécial à vous présenter.
J’ai créé une chanson satirique intitulée ‘Les Singes en Costumes’. Elle s’inspire des travaux fascinants de deux grands primatologues : Desmond Morris et Frans de Waal.
Dans cette chanson, j’explore avec ironie les ressemblances frappantes entre nous, humains en société, surtout dans les milieux de pouvoir, et nos cousins primates. Croyez-moi, les similitudes sont plus nombreuses qu’on ne le pense !
J’y parle de tout : de la façon dont on marque notre territoire au bureau, de nos rituels sociaux qui ressemblent étrangement au ‘grooming’ des singes, et même de comment nos smartphones dernier cri ne sont peut-être que les nouveaux symboles de dominance primitive.
Mais ne vous méprenez pas ! Derrière l’humour, je veux vraiment nous faire réfléchir sur notre nature profonde. Qui sommes-nous vraiment sous nos costumes et nos titres ronflants ?
J’aborde aussi des idées plus récentes, comme l’empathie chez les primates. Ça m’a fait réaliser que ce qu’on appelle ‘humanité’ est peut-être plus ancien qu’on ne le croit.
Alors installez-vous confortablement et préparez-vous à voir votre bureau ou l’Assemblée nationale d’un œil nouveau. Je parie que vous allez commencer à repérer ces comportements de ‘primates’ partout… peut-être même chez vous !
Si cette chanson vous fait sourire ou réfléchir, n’hésitez pas à liker, commenter et partager. Et j’ai une question pour vous : dans votre vie de tous les jours, vous vous sentez plutôt chimpanzé ou bonobo ? Dites-le moi dans les commentaires !
Allez, bonne écoute et à bientôt pour de nouvelles aventures simiesco-humaines !
Couplet 1 Le torse bombé, la cravate comme un pelage Ils paradent fièrement, marquant leur passage Dans les couloirs du pouvoir, leur territoire Ils grognent et gesticulent pour la victoire (Aie aie aie)
Couplet 2 Réunions d’affaires, rituels de toilettage On se flatte, on s’épouille, c’est un grooming à la page Poignées de main fermes et regards appuyés La hiérarchie s’établit sans même parler (Tais toi ou j’te tape !)
Refrain Dans la jungle de béton, les singes en costume Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes Sous le vernis de la civilisation (Ah non !) Se cache une primitive ambition (Quels cons)
Couplet 3 Montres de luxe et voitures rutilantes Remplacent les couleurs vives des primates Par ces symboles, ils affirment leur statut Dans ce monde où l’apparence fait vertu (Qui l’eut cru !)
Couplet 4 Coalition, alliances, on s’unit par intérêt Comme les babouins formant leurs clans secrets L’agressivité sublimée en compétition Pour grimper toujours plus haut, quelle ambition ! (Attention !)
Refrain Dans la jungle de béton, les singes en costume Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes Sous le vernis de la civilisation (Oh non !) Se cache une primitive ambition (Quels cons !)
Pont Mais quand le conflit gronde, que faire ? On apaise, on console, comme nos frères Dans la savane ou dans les tours de verre Mêmes gestes, mêmes instincts millénaires (Quelle misère !)
Couplet 5 La paix après la guerre, on se réconcilie Comme les chimpanzés, on cherche l’harmonie L’empathie nous guide, même au sommet du pouvoir La morale du primate reste notre miroir
Nouveau pont Chimpanzé ou bonobo, quelle est notre nature ? Dominants ou aimants, quelle est notre culture ? Entre guerre et amour, notre société balance Comme nos cousins primates dans leur danse
Couplet final De la salle de conseil à l’arène politique On coopère, on transmet notre éthique Le singe nu se drape de sophistication Mais garde en lui sa nature de primate en action (Quelle réflection !)
Refrain Dans la jungle de béton, les singes en costume Jouent leur comédie, suivent leurs coutumes Sous le vernis de la civilisation (Ah non !) Se cache une primitive ambition (Quels cons !)
Outro Sous nos airs civilisés, nos manières raffinées Le babouin en nous ne cesse de se révéler (Quelle idée !)
Intro Écoutez le flow numérique, le beat cybernétique L’encre virtuelle coule, le clavier est magique
Couplet 1 Le clavier claque, constellation numérique, Sur l’écran blanc, vide électronique. Les mots tus, data lovés sous les doigts, S’échappent enfin, leur code se déploie.
Ô curseur, sceptre d’or des royaumes virtuels, Tu transmutes les larmes en pixels éternels. Dans l’alambic du cloud, les vains maux distillés Deviennent flux pur, algorithmes étoilés.
Refrain Pour que les mots non dits ne deviennent pas des mots maudits ! On code nos pensées, on hacke nos vies Les silences toxiques, on les transforme en symphonie Dans le cloud infini, nos âmes se relient
Couplet 2 La beauté surgit des fenêtres béantes, Fleurs de LED aux pétales éclatantes. L’esthétisme, filtre diaphane et léger, Pare l’affreux d’un éclat pixellisé.
Dans la forge des tweets, le poète-hacker Transmute le spam vil en or de cyber. La sublimation, ce mystère digital, Fait des maux passés un trésor viral.
Couplet 3 Des pulsions obscures aux pixels lumineux, Le code transmute le chaos en jeux. Sur l’écran virtuel, alchimie des émotions, Les désirs refoulés deviennent applications.
Le clavier, baguette magique de l’âme, Transforme en beauté ce qui était drame. Dans ce creuset digital, les ombres sublimées S’élèvent en data, socialement likées.
Refrain Pour que les mots non dits ne deviennent pas des mots maudits ! On code nos pensées, on hacke nos vies Les silences toxiques, on les transforme en symphonie Dans le cloud infini, nos âmes se relient
Outro Le clavier se tait, l’écran s’éteint doucement Mais les mots résonnent, éternellement
Imaginons un instant que Louis-Claude de Saint-Martin ,le philosophe inconnu aie composé une chanson en rap pour parler du Crocodile, c’est à dire le mal qui guette l’homme ?
Plongez dans une atmosphère sombre et poétique avec « Le Crocodile », cette chanson rap alliant sagesse et mise en garde. Ce morceau raconte l’histoire d’un homme confronté aux dangers cachés sur le chemin de la vie et dans les recoins de la société. À travers des paroles puissantes et un rythme envoûtant, découvrez un message d’espoir et de résilience.
Intro
Verset 1 Mortel qui cherche en vain la paix et la sagesse, Écoute ce poème, un cri de détresse. Car sur le chemin de vie, parmi les fleurs, Se cache un ennemi, semeur de douleurs.
L’homme, hélas, avance sur le chemin amer, Sans voir le danger qui dans l’ombre se terre. Le crocodile, perfide, attend son heure, Pour mordre le rêve, répandre la peur.
Refrain Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route, Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute. Car le crocodile, perfide et sans pitié, Guette dans la nuit pour te faire tomber.
Verset 2 Sur la route de vie, si belle et fragile, Veille bien, ô mortel, sur ton cœur, sois agile. Car la bête rusée, dans la nuit se glisse, Cherchant à saper ton joyeux édifice.
Dans la société, ce vaste labyrinthe, Guette aussi l’ennemi, prêt à nous atteindre. Masqué d’illusions, de fausses vérités, Il séduit, il corrompt, ébranle nos cités.
Refrain Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route, Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute. Car le crocodile, perfide et sans pitié, Guette dans la nuit pour te faire tomber.
Verset 3 Ne cède pas à ses appels sournois, Garde en toi la lumière, écoute cette voix. Car la sagesse vraie, pure et éclatante, Éloigne du chemin toute force errante.
Ainsi, homme prudent, dans cette lutte intense, Affronte le crocodile, arme ta conscience. Que ton esprit, guidé par la vérité, Triomphe des ténèbres, bâtisse ta clarté.
Refrain Garde ton cœur, mortel, au fil de ta route, Ne cède pas au mal, aux ombres et au doute. Car le crocodile, perfide et sans pitié, Guette dans la nuit pour te faire tomber.
Plongez dans un univers où l’ordre et le chaos dansent ensemble au rythme d’une mélodie reggae paisible. « La Quantique du Chat » explore les mystères de la mécanique quantique à travers les yeux d’un chat philosophe. Avec une instrumentation acoustique et des vibes détendues, cette chanson vous invite à réfléchir sur les paradoxes de notre cosmos.
Intro Dans un monde de mystère, j’ai rencontré un chat Qui m’a parlé d’ordre et de chaos, imagine ça !
Couplet 1 J’ai levé la tête vers le chat du Cheshire Lui posant une question sur notre univers Entre l’ordre et le chaos, comment tout s’emmêle ? Dans ce cosmos où tout semble se rebeller
Refrain Oh, la quantique du chat Ordre et chaos main dans la main La quantique du chat Dans l’univers, rien n’est certain
Couplet 2 Le chat m’a parlé d’un papillon en Asie Dont les ailes provoquent des tornades, quelle folie ! Mais même ce chaos suit les lois du ciel Les fluides en mouvement, un ordre essentiel
Refrain Oh, la quantique du chat Ordre et chaos main dans la main La quantique du chat Dans l’univers, rien n’est certain
Couplet 3 Les fractales, me dit-il, sont d’ordre éclatant Mais leur naissance est un processus anarchisant Les particules dansent, ondes et matière à la fois La mécanique quantique nous montre la voie
Refrain Oh, la quantique du chat Ordre et chaos main dans la main La quantique du chat Dans l’univers, rien n’est certain
Couplet 4 L’univers s’étend, quel chaos grandissant ! Mais Hubble dicte un rythme bien captivant La vie évolue, mutations hasardeuses La sélection naturelle, loi mystérieuse
Outro Ainsi, mon ami, médite cette leçon L’ordre et le chaos dansent en union Dans la toile cosmique, un ballet énigmatique C’est ça, mon pote, la quantique du chat
Refrain Oh, la quantique du chat Ordre et chaos main dans la main La quantique du chat Dans l’univers, rien n’est certain
Couplet 1 Rochers, vagues, nuages – trinité primordiale La Belle Breizh frémit sous le souffle de l’infini Soleil, sable, écume – alchimie estivale La mer pulse, haletante, dans son écrin de midi
Refrain Ô côte sauvage, amante farouche Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve Cruauté sublime où mon âme se retrouve
Couplet 2 Énergie débridée, fureur des éléments Nudité crue du monde, sans voile ni pudeur Cruauté dévoilée, beauté des tourments L’univers se dénude dans sa brute splendeur
Refrain Ô côte sauvage, amante farouche Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve Cruauté sublime où mon âme se retrouve
Pont Mon corps s’offre à l’appel des flots tumultueux Je plonge, ivre d’azur, dans l’étreinte marine Caressant le dos lisse des rouleaux fastueux Goûtant l’écume amère sur ma langue saline
Couplet 3 Emporté, ballotté par le rythme des eaux Je me laisse bercer par leur danse éternelle Tourbillon extatique, ivresse sans repos Jusqu’à l’épuisement de ma chair mortelle
Refrain Ô côte sauvage, amante farouche Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve Cruauté sublime où mon âme se retrouve
Couplet 4 Enfin, rejeté sur le rivage doré Épuisé mais comblé, l’âme encore vibrante Je m’étends, pantelant, sur le sable nacré Uni à l’univers en sa beauté violente
Refrain final Ô côte sauvage, amante farouche Tes vagues m’appellent, je cède à ta bouche Dans ton étreinte, je me perds, je me trouve Cruauté sublime où mon âme se retrouve
Fin
Bruit des vagues
Cette chanson est le résultat d’un poème de jeunesse que j’ai retravaillé. J’ai pensé à Albert Camus et à Noces à Tipasa mais ici la communion et la sensualité se passe avec l’Océan ou la Mer de Bretagne.
J’ai la soif inextinguible d’une supernova, Éclatante lactée, qui en ses bras me noie. Pour étancher ma voie, mystère et foi en moi, Je cherche l’âme pure, insaisissable éclat.
Le Graal insolvable, tel l’onde qui s’en va, Dissout dans l’infini, tout comme mon émoi. J’aspire à l’harmonie, fin d’une quête en soi, Hermétique et subtile, à l’aube du trépas.
Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral, Fusion de nos âmes, amour interstellaire, Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral, Éternels amants, à jamais partenaires.
Les étoiles naissent, meurent, et dans leurs ébats, Je contemple l’absolu, au-delà des lois. La quête transcendantale, sans roman, sans éclat, Passe par la geste pure, sans trêve ni débat.
Entre un homme et une femme, par-delà le combat, Il y a cette eau de vie, où l’âme se déploie. Par un trait d’union entre l’ô et le choix, Je commence à être libéré du fracas.
Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral, Fusion de nos âmes, amour interstellaire, Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral, Éternels amants, à jamais partenaires.
Dans ses yeux, je vois l’univers, vastes firmaments, Où des constellations dansent en fous mouvements. Sa peau contre la mienne, fusion de nos éléments, Chaleur et tendresse en fiévreux enivrements.
Nos âmes entremêlées, telles deux astres errants, Cherchent l’éternité dans les baisers brûlants. Dans ses bras, je suis captif, par des liens éclatants, Rêvant d’une union infinie, aux désirs dévorants.
Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral, Fusion de nos âmes, amour interstellaire, Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral, Éternels amants, à jamais partenaires.
Elle est mon oasis, ma source d’apaisement, Dans ce désert aride de doutes et de tourments. Sa voix, douce mélodie, apaisant mes tourments, Nous sommes deux étoiles dans un ciel fulgurant.
Et quand la nuit se lève, et que nos corps se fondent, Je sens en moi l’extase, comme une vague profonde. Nos souffles se confondent, nos cœurs à l’unisson, Nous touchons l’absolu, au-delà de la raison.
Et voilà que de notre union naît un Big Bang, Explosion de rayons gamma, passions qui s’élancent, Lessivant cette vie de ses tâches et de son rang, Purifiée aux lèvres de ma tendre aimée, immense.
Nous sommes les étoiles, dans l’univers sidéral, Fusion de nos âmes, amour interstellaire, Nous brisons les chaînes, dans un éclat magistral, Éternels amants, à jamais loin de terre.
Ce poème est le résultat d’une reprise et d’un nouveau travail effectué sur un poème de jeunesse.
L’Histoire aujourd’hui se voile de nuages sombres, L’orage terrestre, annonçant un long hiver, L’humanité frissonne face à ces ombres, Qui menacent d’obscurcir notre univers.
Quand le passé s’efface et s’éteint, Les cœurs errent dans des ténèbres lointaines, Privés de sens, comme des âmes en peine, L’avenir devient un chemin incertain.
Mais dans l’ombre, cherchons la lumière, Dans le passé, trouvons nos repères, Car l’avenir s’éclaire à la lueur De la sagesse et de l’ardeur.
Aliénés de l’inconscient profond, Nous perdons notre essence, notre voie, Dans les filets de la technologie froide, L’humanité se meurt, se fond.
Le progrès nous déshumanise, Rendant l’homme un simple artefact, Sans racines, sans âme, sans tact,, Nous marchons vers cet abîme qui brise.
Mais dans l’ombre, cherchons la lumière, Dans le passé, trouvons nos repères, Car l’avenir s’éclaire à la lueur De la sagesse et de l’ardeur.
Les crises du sens ne font que s’amplifier, Sans mythes, sans récits pour guider, Nous cherchons en vain des vérités, Dans un monde fragmenté, démystifié.
L’ombre collective nous menace, Les ombres projetées de nos peurs, Explosent en conflits, en heures, De destruction, de haine tenace.
Mais dans l’ombre, cherchons la lumière, Dans le passé, trouvons nos repères, Car l’avenir s’éclaire à la lueur De la sagesse et de l’ardeur.
Manque de conscience individuelle, Nous sommes prisonniers de notre inconscience, Incapables de nous libérer, en toute conscience, D’une vie mécanique, superficielle.
Si nous oublions le passé, notre lumière, Nous finirons à l’ombre, emprisonnés, Dans les cages forgées par nos faits, Perdus dans les ténèbres, sans repères.
Mais dans l’ombre, cherchons la lumière, Dans le passé, trouvons nos repères, Car l’avenir s’éclaire à la lueur De la sagesse et de l’ardeur.
Cherchons dans l’histoire, notre boussole, Pour éclairer le chemin incertain, Retrouvons la profondeur humaine, son lien, Évitons les ombres, les rôles.
Pour que l’humanité retrouve son éclat, Écoutons les leçons d’autrefois, Réintégrons l’âme et la foi, Et marchons ensemble, bras dans, bras.
Mais dans l’ombre, cherchons la lumière, Dans le passé, trouvons nos repères, Car l’avenir s’éclaire à la lueur De la sagesse et de l’ardeur.
Vers un futur où l’ombre recule, Où l’homme est plus qu’un simple rouage, Révélons les trésors de notre sage, Et que la lumière, enfin, circule.
Inspiré par la citation d’Alexis de Tocqueville : « Quand le passé n’éclaire plus l’avenir, l’esprit marche dans les ténèbres. » Cette citation provient de son œuvre célèbre « De la démocratie en Amérique »
Je veux que la mort me trouve plantant mes choux, Dans le jardin tranquille où fleurissent mes jours, Sans crainte ni tristesse, de mes doutes absou, Les pieds dans la terre, sous les cieux clairs toujours.
Nonchalant de la mort, et plus encore de tout, De ce jardin imparfait, reflet de nos détours, Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou, Savourons l’instant, sans crainte des retours.
Que le vent me berce, les saisons m’accompagnent, Chaque feuille qui tombe me parle de demain, La nature imparfaite, sous mes mains se dessine, Comme un doux écho de mon propre destin.
Nonchalant de la mort, et plus encore de tout, De ce jardin imparfait, reflet de nos détours, Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou, Savourons l’instant, sans crainte des retours.
C’est dans les gestes simples que le bonheur réside, Dans l’imperfection, la beauté s’exprime, À l’ombre des choux, la vie trouve un guide, Le calme et la paix, voilà mon ultime rime.
Nonchalant de la mort, et plus encore de tout, De ce jardin imparfait, reflet de nos détours, Vivons sans regret, chaque instant, chaque sou, Savourons l’instant, sans crainte des retours.
Plantons nos choux, vivons chaque seconde, Le jardin imparfait est le cœur de ce monde, La mort nous trouvera, paisible et féconde, Dans l’éclat de la vie, où nos âmes se fondent.
Ce texte est évidemment inspiré de Montaigne et largement inspiré de André Comte-Sponville