Plongez dans l’univers coloré de Paul Cézanne avec cette chanson originale qui célèbre la beauté de la Provence et le génie du peintre. À travers six distiques évocateurs et un refrain évocateur, cette composition vous transporte dans les jardins vibrants qui ont inspiré le maître impressionniste.
Auteur/autrice : admin4625
Plongez au cœur du marché de Toulon avec cette chanson poétique et envoûtante, inspirée des écrits de Jean Aicard et Jean Cocteau. « Le Marché de Toulon » vous emmène dans une promenade à travers les étals animés, les couleurs vives et les saveurs délicieuses de ce marché provençal. Avec des paroles qui célèbrent la beauté et l’authenticité de la vie locale, et un refrain entraînant comme une samba lente, cette chanson est une ode à la joie et à la sérénité de Toulon.
Voici une chanson dont le texte m’est venu en me promenant du port des Sablettes vers Mare Vivo sous un soleil couchant et touchant.
Le Bateau en Rade Envie de partir, de larguer les amarres ? « Le Bateau en Rade » explore ce désir de liberté face aux contraintes de la vie. Inspirée par les magnifiques paysages de La Seyne-sur-Mer et la rade de Toulon, cette chanson parle de nos rêves souvent laissés à quai.
🎶🌅 Deux Sœurs, Deux Frères – Bossa Nova Vibes 🌊🎵Découvrez notre nouvelle chanson « Deux Sœurs, Deux Frères » inspirée par la French Riviera et l’ambiance douce de la Bossa Nova. 🌴✨Sur la plage des Sablettes, deux sœurs contemplent l’horizon et les mythiques Deux Frères au coucher du soleil. Un moment de paix et de beauté que nous partageons avec vous en musique. 🎶❤️ #BossaNova #FrenchRiviera #PlageDesSablettes #DeuxSoeursDeuxFreres #ChansonFrançaise #MusiqueDouce #RelaxingVibes
🔥 Nouveau titre : « Le Chardon Ardent » – Une odyssée alchimique en musique 🔥
Chers abonnés et amateurs de poésie hip-hop,
Aujourd’hui, j’ai le plaisir de vous présenter ma dernière création : « Le Chardon Ardent ». Ce morceau est né d’une rencontre inattendue entre un chardon solitaire et un coucher de soleil flamboyant sur les rives du canal de Péruwelz.
Ce qui a commencé comme un simple poème s’est transformé en une véritable odyssée musicale, fusionnant les rythmes envoûtants du hip-hop avec la puissance évocatrice de la poésie. Dans cette chanson, je vous invite à plonger dans un voyage introspectif où le feu devient le catalyseur d’une métamorphose personnelle.
Intro
Couplet 1
Un soir, le long du canal, j’ai erré,
Croisant d’abord un chardon solitaire,
Puis un soleil couchant, paré de mystère,
Au-dessus du port, flamboyant et doré.
Couplet 2
Je les ai capturés en images précises,
Ces deux instants, ces visions envoûtantes,
Et rentré chez moi, dans mes songes flottantes,
Ces visions soudain se sont trouvées éprises.
Refrain
Par le feu du chardon, je me transmute
Ignis naturae, l’âme en combustion
De cendres en phénix, seconde à seconde
Je renais, alchimiste de ma propre rédemption
Couplet 3
Fusion solaire, le port devint brûlant,
Un chardon de feu, une étrange union,
M’aspirant dans une intense communion,
Rêve où l’âme et l’univers sont flottants.
Couplet 4
Aux rives du canal, sous un ciel enfiévré,
Le chardon s’embrase, âme de flammes vives,
Fusion solaire, mon cœur en cendres dérive,
Dans ce feu mystique où l’esprit est sacré.
Refrain
Par le feu du chardon, je me transmute
Ignis naturae, l’âme en combustion
De cendres en phénix, seconde à seconde
Je renais, alchimiste de ma propre rédemption
Couplet 5
Là, le port de plaisance se mue en mirage,
Les barques deviennent phénix incandescents,
Et moi, projeté en rêve resplendissant,
Je deviens ce chardon, ardent au bord de l’orage.
Couplet 6
Les épines de feu percent l’ombre des cieux,
Bouillonnement cosmique, éruption de l’être,
Chaque flamme, un cri, chaque étincelle, un être,
De mon voyage astral, aux confins merveilleux.
Refrain
Par le feu du chardon, je me transmute
Ignis naturae, l’âme en combustion
De cendres en phénix, seconde à seconde
Je renais, alchimiste de ma propre rédemption
Couplet 7
Ô transformation, ô chardon, ô miracle,
Tu es le phare, le guide, l’étoile nouvelle,
Dans l’infini nocturne, je vogue en rebelle,
Explorant les mystères de ce monde oracle.
Couplet 8
Je suis le chardon, le feu, la renaissance,
Sous la voûte céleste, mon énergie s’étend,
Déployant l’invisible, l’inconscient, le dedans,
En une danse folle, de pure jouissance.
Refrain
Par le feu du chardon, je me transmute
Ignis naturae, l’âme en combustion
De cendres en phénix, seconde à seconde
Je renais, alchimiste de ma propre rédemption
Outro
Ô Péruwelz, ton canal m’a révélé,
Dans cette nuit magique, en flammes transfigurée,
Et moi, chardon ardent, en quête d’éternité,
Je brûle de vie, en ce rêve éveillé.
Aujourd’hui, je vous propose un voyage littéraire unique : une métamorphose poétique inspirée par le grand Paul Verlaine. J’ai pris une expérience vécue, empreinte d’émotions modernes, et je l’ai transformée en un poème qui aurait pu sortir de la plume du maître symboliste lui-même.
Cette œuvre raconte l’histoire d’une rencontre fugace dans un magasin balnéaire, un coup de foudre entre deux âmes que l’âge sépare. À travers des alexandrins ciselés et un vocabulaire riche en émotions, nous explorons les thèmes chers à Verlaine : la mélancolie, le désir inassouvi, et la beauté éphémère des instants volés.
Chaque couplet dépeint une scène de cette rencontre, tandis que le refrain, tel un leitmotiv verlainien, nous rappelle la tension entre le désir et la pureté des sentiments. L’outro vient clore ce moment suspendu, laissant le narrateur à ses rêveries nostalgiques.
Ce poème est une invitation à redécouvrir la puissance évocatrice de la poésie symboliste, tout en explorant des thèmes intemporels qui résonnent encore aujourd’hui. C’est un hommage à Verlaine, mais aussi une réflexion sur la nature changeante et éternelle de l’amour et du désir.
Laissez-vous emporter par la musicalité des vers, la richesse des images, et la profondeur des émotions. N’hésitez pas à partager vos impressions dans les commentaires, et à vous laisser inspirer pour créer vos propres réinterprétations poétiques !
Bonne écoute, et que la magie des mots vous transporte.
Intro
Couplet 1
Dans l’échoppe estivale, un jour languissant,
Telle une fleur solaire, vous m’êtes apparue.
Chevelure de feu, robe d’or caressant
Vos formes, vision connue et inconnue.
Refrain 1
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Un regard, un sourire, est-ce déjà ivresse ?
Couplet 2
Nos yeux s’enlacent, se cherchent, s’abandonnent,
Mon être tout entier dans vos prunelles plonge.
Votre moue enfantine, espiègle, me façonne
Un désir interdit, un impossible songe.
Refrain 2
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces silences parlants, quelle étrange promesse ?
Couplet 3
Je m’abîme, éperdu, dans l’azur de vos yeux,
Mais l’heure me rappelle à sa loi tyrannique.
À la caisse, nos regards attisent le feu,
Se fondent, je m’enfuis, le cœur mélancolique.
Refrain 3
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Le hasard de nos rencontres est-il sagesse ?
Couplet 4
Les jours passent, je reviens, ô douce surprise !
Vous voilà caissière, non plus cliente aimée.
Vos mots professionnels cachent-ils quelque brise
D’un sentiment plus tendre, d’une âme charmée ?
Refrain 4
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces mots anodins sont-ils tendres caresses ?
Couplet 5
À la veille du départ, ultime rencontre,
Votre cordialité semble s’épanouir.
« À bientôt », dites-vous, ignorant la montre
Du temps qui nous sépare, ô cruel avenir !
Refrain 5
Vous me croirez peut-être un senior libidineux,
Mais mon âme pour vous n’est que pure tendresse.
Quel jeu jouons-nous donc, ô cœur capricieux ?
Ces adieux non-dits sont-ils nos vrais détresses ?
Outro
Dans le convoi qui m’emporte, rêveur, je songe
À votre image, soleil dans la grisaille.
Ô rousse enchanteresse, votre souvenir plonge
Mon cœur dans un émoi qui jamais ne défaille.
Quel jeu avons-nous joué, âmes solitaires ?
Plongez dans l’univers poétique et rebelle de ce nouveau morceau qui défie les conventions de l’écriture. Inspiré par mes expériences personnelles en tant qu’élève et parent, ce texte est un cri du cœur contre les contraintes imposées à la créativité littéraire.
Dans ce clip, j’explore la tension entre les règles grammaticales rigides et la liberté d’expression artistique. Les mots deviennent des armes, la plume se transforme en instrument de révolte, et chaque vers est un acte de rébellion contre le carcan des dictées et des corrections.
Ce morceau est un hommage à la puissance créatrice du langage, une célébration de l’écriture libre et sauvage qui refuse de se plier aux normes établies. C’est aussi un appel passionné au respect de l’art et de l’intégrité des œuvres originales.
Que vous soyez un amoureux des mots, un rebelle dans l’âme, ou simplement curieux de découvrir une nouvelle perspective sur l’écriture et l’éducation, ce clip vous invite à réfléchir sur la place de la créativité dans notre société.
Rejoignez-moi dans cette rébellion poétique et laissez le sang d’encre couler librement !
Intro
Dans les vapeurs d’un délire grammatical,
Je vis les mots saigner sur l’autel du banal.
Ô profanateurs aux yeux de craie,
Vos règles sont le carcan de ma pensée !
Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !
Couplet 1
Les bottins de l’enfer s’empilent,
Bescherelle trône, Grevisse jubile.
Mais ma prose, feu follet indocile,
Danse sur vos tombeaux de virgules.
Couplet 2
Le poète maudit vos corrections rouges,
Vos marges sont des cages, pour l’art un bouge.
J’invoque l’esprit des rimes assassinées,
Pour maudire vos plumes empoisonnées.
Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !
Couplet 3
Dans les limbes d’un subjonctif imparfait,
Je vois des enfants aux yeux défaits.
Leurs rêves noyés d’accords passés,
Sur l’océan de phrases à analyser.
Couplet 4
Ô dictée ! Absinthe amère de l’école,
Tu changes rossignols en rosses ignobles.
Mais mon verbe, phénix de cendres né,
Renaît toujours, jamais conjugué.
Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !
Couplet 5
Que ma voix soit le tonnerre des mots libres,
Éclatant vos carcans, brisant vos calibres.
Dans le chaos sublime de la création,
Je danse, ivre de ma rébellion.
Couplet 6
Ne touche pas à mes textes, profanateur
Ou subis la colère de l’auteur
La dictée est une abomination
Qui tue la créativité sans compassion
Refrain
Un sang d’encre rebelle coule de ma plume,
Contre vos dictées, je m’insurge, je m’enrhume.
Dans la nuit des cahiers, mes vers hurlent,
Libres, sauvages, ils brûlent !
Outro
Que cet avertissement résonne et fasse trembler
Tous ceux qui oseraient mes œuvres profaner
Respectez l’art, laissez vivre les mots
Ou affrontez la fureur de mes crocs
Ah, la flûte à bec ! Cet instrument si cher à nos cœurs d’écoliers, qui résonne encore dans les couloirs de nos souvenirs. Mais pourquoi donc, me direz-vous, continue-t-on à enseigner la flûte à bec à l’école ? La réponse est simple : c’est pour nous préparer à la vie en société. Oui, vous avez bien entendu. Car vivre en société, et surtout réussir dans le monde actuel, c’est avant tout apprendre à jouer du pipeau.
Imaginez un instant : vous êtes en réunion, votre patron vous demande un rapport que vous n’avez pas fait. Que faites-vous ? Vous sortez votre flûte à bec imaginaire et commencez à jouer une mélodie envoûtante, pleine de promesses et d’illusions. Vous trompez votre monde, vous faites croire à des merveilles. Et voilà, vous avez gagné du temps, tout comme vous le faisiez en cours de musique, en soufflant maladroitement dans ce bout de plastique.
La flûte à bec, c’est l’école de la vie. Elle nous apprend à manipuler les apparences, à créer des illusions. Après tout, n’est-ce pas ce que font les politiciens, les publicitaires, et même certains enseignants ? Ils jouent du pipeau, ils nous vendent du rêve. Et nous, pauvres élèves, nous apprenons à les imiter, à perfectionner notre art pour ne pas finir comme les rats peu malins d’Hamelin.
Et puis, soyons honnêtes, la flûte à bec a un autre avantage : elle nous enseigne la patience. Car il en faut, de la patience, pour être et rester à l’écoute, supporter les couacs et les fausses notes de nos camarades. C’est un véritable entraînement à la tolérance et à la résilience. Vous pensiez que c’était juste un instrument de torture auditive ? Détrompez-vous, c’est un outil pédagogique de premier ordre.
Alors, la prochaine fois que vous entendrez les notes stridentes d’une flûte à bec, ne froncez pas les sourcils. Souriez, car vous savez maintenant que derrière chaque souffle se cache une leçon de vie. Apprendre à jouer du pipeau, c’est apprendre à vivre en société. Et qui sait, peut-être qu’un jour, vous aussi, vous deviendrez un virtuose de l’illusion.
Ah, que le temps fuit, insaisissable et sournois,
Comme ces ombres longues, s’étirant dans le soir,
Sur ce sentier du canal, je promenais mon roi,
Mon fidèle ami, au regard si plein d’espoir.
Les ombres fuient, comme la vie, impitoyable,
Le temps file, cruel, avec ses coups de sabre,
Et nous marchons, perdus dans ce tableau affable,
L’eau calme, miroir de nos âmes, douce et macabre.
Le canal charrie nos souvenirs, nos désirs,
Comme la vie emporte nos rires et nos peines,
Les émotions se fondent en des soupirs,
Mélancolie douce, où tout s’éteint et renaît.
Ombres fuyantes, vies fragiles, destins en croix,
Nous cheminons, complices, dans ce tableau si sage,
La vie suit son cours, telle une mélodie d’autrefois,
Chariant nos rêves, nos tristesses, nos âges.
Mon compagnon fidèle, à mes côtés, se blottit,
Son ombre s’allonge, se fond dans l’infini,
Et dans ce crépuscule, où les ombres s’unissent,
La vie et la mort, en un doux ballet, s’évanouissent.
Mais dans l’ombre se cache l’aube nouvelle,
La renaissance, promesse d’un jour éclatant,
Les souvenirs se mêlent à cette lumière belle,
Un cycle éternel, un espoir renaissant.
Ainsi, malgré les ombres et les heures qui passent,
Je garde en moi l’espoir, doux et persistant,
Car de chaque fin naît une nouvelle trace,
Et la vie, toujours, se renouvelle finalement.