Amis mélomanes et philosophes en herbe ! Je partage avec vous une expérience créative fascinante…
Tout est parti d’un texte provocateur imaginant Voltaire débarquant dans nos bistrots modernes, troquant sa dentelle contre une gabardine pour combattre l’obscurantisme contemporain. Ce texte satirique, je l’ai soumis à Claude (l’IA d’Anthropic) pour le transformer en chanson.
👉 D’abord le texte original :
Alors ouais, on a eu le siècle des Lumières, un truc brillant, étincelant, qui te filait presque des coups de soleil au cerveau. Une époque où les cerveaux s’allumaient comme des guirlandes un 14 juillet ! Les mecs pensaient qu’en tondant l’ignorance à la racine, on planterait des chênes de sagesse pour l’éternité. Et là-dessus, y’a un rigolo, un abruti, ou pire, une horde d’abrutis, qui s’est dit : « Tiens, si on coupait le courant ? »
Maintenant, regarde où on en est : c’est l’obscurité totale. Des types qui t’expliquent avec aplomb que la Terre est plate comme une galette bretonne, que les vaccins, c’est pour te transformer en antenne 5G, et que le changement climatique, c’est une invention pour vendre des éoliennes. T’as beau leur balancer des faits sous le nez, ils te regardent comme si t’essayais de leur expliquer la physique quantique en patois.
Et le pire ? C’est qu’on les applaudit, ces clowns. Tu les vois partout : sur les réseaux, à la télé, au comptoir du troquet. Ils causent fort, mais jamais juste. Ils vendent des salades tellement périmées qu’on devrait les appeler Charcutier en Chef. La science ? Ça les gonfle. La logique ? Trop fatigant. Tout ce qui demande plus de deux neurones ? Niet, c’est hors service.
Et pendant ce temps, en haut, y’a les malins, les vrais, ceux qui tiennent les ficelles. Ils adorent ce bazar, eux ! Plus c’est le foutoir en bas, plus ils se fendent la poire. T’imagines bien que dans le noir, ils remplissent leurs poches en toute tranquillité. Un peuple qui réfléchit, ça les emmerde. Mais un peuple qui gobe tout et qui gueule sans savoir, ah ça, c’est du pain bénit !
Mais attends, faut pas croire que je te laisse sur cette note de cafard. Parce qu’y a encore des allumés, des vrais, qui continuent de tenir la chandelle. Ces types-là, c’est des gladiateurs ! Ils se battent contre la connerie à mains nues, à coups de bouquins, de conférences et de « non mais sérieusement ? ». Ce sont eux, les derniers éclaireurs dans cette forêt de débiles.
Alors toi, l’ami, oui toi qui lis ces mots : lâche pas l’affaire. Rallume les neurones, tiens bon la barre. Pose des questions, creuse les trucs. Et surtout, laisse jamais un âne déguisé en prophète éteindre ton cerveau. Parce qu’un monde sans lumière, c’est comme une bière sans mousse : ça donne envie de pleurer.
Et si on s’y met tous, va savoir, on rallumera peut-être le lampadaire. Parce que franchement, c’est pas une bande de clowns qui va nous condamner à marcher dans le noir !
✨ Puis la magie opère… Claude transforme ce monologue en « Swing de Voltaire », structuré en refrains évolutifs et couplets rythmés. La chanson a ensuite été mise en musique grâce à Suno AI.
🎵 Résultat : une chanson swing qui fait dialoguer tradition et modernité, dans l’esprit de Nougaro et du jazz de Saint-Germain-des-Prés !
Le Swing de Voltaire
Intro musicale
Refrain 1 – Calme
Voltaire a troqué sa dentelle
Pour une vieille gabardine,
Dans les bistrots, il interpelle
Les prophètes de la machine.
« Mes gars, faut qu’on cause, qu’on s’explique,
J’ai dans ma poche des Lumières,
Pour éclairer vos esprits cyniques,
Avant qu’tout parte en l’air ! »
Couplet 1
Le siècle des Lumières brillait comme un soleil,
Les cerveaux s’éclairaient, c’était pas du pareil,
On tondait l’ignorance jusqu’à plus soif,
Pour planter la sagesse, fallait qu’ça chauffe !
Mais v’là qu’un beau matin, des rigolos d’service
Ont coupé le courant, propageant leurs vices,
Maintenant c’est le noir, total black-out,
La bêtise qui règne, partout, c’est fou !
Refrain 2 – Tendu, irrité
Voltaire a quitté sa dentelle
Pour sa vieille gabardine,
Dans les bistrots, il gueule, il démêle
Les nœuds d’la sourde machine.
« Mes gars, la connerie vous appelle,
Mais j’ai mon flingue qui s’illumine,
De mes Lumières éternelles,
J’vais vous r’faire la médecine ! »
Couplet 2
Y’en a qui t’expliquent que la Terre est une crêpe,
Que les vaccins transforment en antenne qui pète,
Le climat qui change ? Une invention d’marchand,
Pour vendre des moulins tournant dans le vent !
Tu leur sers des faits, ils te r’gardent bizarre,
Comme si tu parlais le langage des bars,
La science les gonfle, la logique les fatigue,
Deux neurones maximum, c’est leur intrigue !
Refrain 3 – Déterminé, combatif
Voltaire fait plus dans la dentelle
Il enfile sa gabardine,
Dans les bistrots, c’est l’étincelle
Qui fait sauter la machine.
« C’est fini les conneries mortelles,
Mes Lumières vous illuminent,
La raison sera éternelle,
La vérité s’obstine ! »
Couplet 3
En haut les malins se frottent les mains,
Plus c’est le bordel, plus ils font leur pain,
Un peuple qui pense, ça les emmerde bien,
Mais des gobeurs d’salades, ça leur convient !
Pourtant y’a encore des fous, des illuminés,
Qui tiennent la chandelle sans jamais flancher,
Des gladiateurs armés de leurs bouquins,
Qui s’battent pour que l’esprit reprenne son train !
Final – Tempo ralenti
Alors rallume tes neurones, mon pote,
Pose tes questions, creuse la note,
Un monde sans lumière, c’est comme un jazz sans blues,
Une bière sans mousse, un esprit qui s’use…
Laisse pas les clowns éteindre ton cerveau,
On va rallumer tous les flambeaux,
Car Voltaire en gabardine te le dit tout bas :
« La lumière reviendra, crois-moi ! »
Refrain Final – Triomphal bluesy
Voltaire a jeté sa dentelle
Béni soit sa gabardine,
Dans nos esprits, étincellent
Les restes de sa machine.
« Les gars, la lumière est si belle,
Quand elle perce la routine,
De ses rayons qui rebelles,
Font danser la doctrine ! »
🎨 La pochette, créée par IA également, s’inspire des cercles intellectuels de la Harlem Renaissance – ces lieux où la pensée libre trouvait refuge dans une atmosphère enfumée de jazz et de discussions passionnées.
Un projet 100% IA-ssisté qui démontre comment ces nouveaux outils peuvent servir la créativité tout en respectant l’esprit des Lumières : questionner, créer, partager !
💭 Qu’en pensez-vous ? L’intelligence artificielle peut-elle nous aider à réinventer notre rapport à la philosophie et à la création artistique ?