Sous un ciel azur, au cœur de la Seyne-sur-Mer, un bédouin drapé dans des étoffes aux teintes sable et azur se tient paisiblement. Son regard est profond, empreint de sagesse et de mystères ancestraux. Comme le voyageur passe près de lui, il lève la main en un salut gracieux.
Le Bédouin :
« Voyageur, arrête-toi un instant, écoute le murmure
Des pierres et des murs, empreints d’aventures.
Ces fresques qui ornent ces façades en couleur,
Ont des histoires à conter, des récits en douceur.
Vois cette fleur géante, bleue comme l’océan,
Elle murmure la beauté des matins d’antan,
Et ces fenêtres aux volets azur et verts,
S’ouvrent sur des mondes, des contes de lumière.
Approche-toi de ce mur où le vieux pêcheur sourit,
Sa canne à pêche tendue vers l’infini.
Écoute son récit, il parle des mers lointaines,
Des créatures fantastiques et des âmes sereines.
Là-bas, le skateur fend les murs de ses rêves,
Il brise les chaînes, il s’envole sans trêve.
Son élan te conte la liberté conquise,
Le frisson de la vie, la victoire permise.
Et ce visage de femme, Marianne aux mille couleurs,
Elle porte la fierté, la lutte, et nos valeurs.
Ses yeux te diront des mots de courage,
Des histoires de luttes, des larmes et des partages.
Les fenêtres, elles aussi, ne sont pas muettes,
Chaque volet, chaque battant, est une amulette.
Bleus, verts, ils chuchotent des secrets d’antan,
Des rêves d’amour, des promesses d’enfant.
Ô voyageur, écoute, entends ces voix murmurantes,
Ces récits de vie, ces histoires chantantes.
Laisse les fresques et les fenêtres te guider,
Dans ce voyage mystique, ces songes partagés. »
Le voyageur, captivé par la voix du bédouin, lève les yeux vers les fresques et les fenêtres. Chaque image, chaque détail semble s’animer, révélant des histoires anciennes et des mystères cachés. Ensemble, ils parcourent les ruelles, chaque pas dévoilant un nouveau chapitre, une nouvelle légende de la Seyne-sur-Mer.