Dans l’âpre voyage du jour, où l’astre de lumière frappe d’un regard
Le sommet semble si loin, alors que le sac, ce fardeau, devient sans égard.
Ainsi la marche semble éternelle, chaque pierre sous le pied,
Un combat à livrer, un pas après l’autre, sous le poids des années.
Le souffle nous trahit, se cachant derrière les montagnes,
Aussi fugitif que les rêves, il nous laisse sur la campagne.
Le chemin, ce maître intransigeant, devient la leçon à suivre,
Chaque souffle, chaque pas, nous apprend à vivre.
Le retour à la vallée, après avoir effleuré les cieux,
Est-ce là la fin de l’épopée, la fin de nos jeux ?
Le sommet était-il donc le but, la récompense suprême ?
La montagne nous répond simplement : « La fin n’est que le début d’un autre poème. »
Comme le chemin de Montaigne, ce voyage solitaire,
Ressemble à la danse de la vie, qui nous mène toujours en terre.
Le jour où le sommet est atteint, le cœur est empli de mélancolie,
Car la descente n’est pas la fin, mais le début d’une nouvelle harmonie.
Le sentier de la montagne, le voyage de notre existence,
Tous deux sont le reflet de notre persévérance.
Que ce soit sur les cimes ou dans la vallée, au clair de la lune,
La vie, tout comme la montagne, est une mélodie que l’on fredonne.
Pascal Rivière pour les idées et les derniers détails, ChatGPT4 pour la mise en forme globale